Chapitre II

46 2 82
                                    

Précédemment...

Aucun d'eux ne prit la peine de les saluer. Ce n'était pas étonnant. Deux jeunes filles et des bambins qui ne possédaient ni muscle ni barbe ne méritaient pas l'attention ni le temps des adultes ne faisant pas parti de leur famille.

______________________________________
"""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""

Pauline, Mélie, Eustache et Basile venaient de rentrés. Les jeunes garçons se sont mis à travailler sur la table où leurs grandes sœurs avaient repris la préparation du repas. Mélie resta ensuite pour surveillé la cuisson et ses petits frères tandis que sa sœur rassemblait le linge sale dans un panier pour aller les laver le lendemain matin et fit du rangement dans toute la maison. Lorsqu'elle retourna à la cuisine, Mélie était en train d'aidé les garçons pour leurs devoir. Elle faisait toujours de son mieux pour ses petits frères sans jamais faire de distinctions entre les deux. Pauline je joigna à eux et elles finirent par les laisser jouer dehors en attendant le retour des parents.
Ces derniers ne se firent d'ailleurs pas tarder. La brouette était pleine de bûches et de brindilles et les paniers plein de baies en tous genres. Bientôt, toute la famille se mit à table. Les parents parlaient entre eux. Il était de coutume que les enfants ne prenaient pas la parole de leur propre initiative mais que lorsqu'un adulte le lui demandais. En y repensant, Pauline se dit que de toutes façons, ni elle ni Mélie ne pouvait raconté quelque chose de palpitant de leur journée. Cependant, leurs mères leur en demandaient toujours un bref récit ou de possibles anecdotes de leurs heures d'autonomie où elles s'occupaient des différentes tâches concernant leur foyer. Les deux petits écoliers avaient rapidement parler de leur journée. Miranda, la mère de Pauline, se tourna vers les jeunes filles leur demanda :

- Et vous, qu'avez vous fait ?

- Nous sommes allé au lavoir pour nettoyer les vêtements et les draps, ensuite...

Alors que Mélie ennumerait toutes les tâches dont elles s'étaient occupées, Pauline restait silencieuse. Elle mangeait son soupé en écoutant sa sœur.

- En rentrant du puit nous avons croisés Swan, le fils de Mathilda.

- Il doit avoir finit sa formation alors. Comment va-t-il ? Lui demanda leur père.

- Bien je suppose, nous ne lui avons pas parlé.

- A-t-il beaucoup changé depuis ses... trois dernières années c'est ça ? questionna Miranda.

- Oui c'est ça. Il a beaucoup grandi. C'est vraiment un homme maintenant. Sa barbe à poussé est il a maintenant des rouflaquettes épaisses.

- Et toi Pauline, tu ne dis rien ? Tu es bien silencieuse ce soir, dit Céline la mère de Mélie.

- Mélie à déjà parlé pour nous deux, je n'ai rien à ajouter.

- Tu es pas heureuse de revoir ton cousin ? La petite voix zezotante de Basile se fit entendre. Son père se tourna vers lui avec un regarde noir d'encre. Le pauvre garçon baissa la tête honteux et se recroquevillaautant qu'il le pouvait sur sa chaise.

- Basile ! Tu ne dois pas parler à table excepté si on te le demande clairement. Imagine le brouhaha que cela ferait si tout le monde se comportait comme toi ! s'empressa de dire Miranda en insistant bien sur le mot "excepté". Pour elle, les règles établit dans la ville était fondamentales. Bien sûr toute règle est importante mais elle mettais un pont d'orgue sur le fait que chaque petite action se déroule selon un protocole strict. Même la plus bénine des tâches ne pouvait être fait à la légère à ses yeux.

- Alors Pauline, es-tu heureuse de l'avoir revu ? En reprenant ainsi la parole, Céline m'étais un terme aux réprimandes de sa concubine.

- Je suppose, le voir m'a rendu nostalgique mais nous nous sommes seulement croisés donc se fut trop bref pour de réelles réjouissances.

Le repas se fini aussi calmement que lorsque qu'il avait commencé. Les garçons montèrent dans leur chambre. Eustache pris ses affaires et parti se laver tandis que Basile préparait ses affaires pour le lendemain et ils inverseront les rôles dès que l'aîné des deux garçons sortira de la salle qui servaient de salle de bain. Franck, le chef de famille, était installé dans un fauteuil à fumé sa pipe avec ses femmes de chaque côté. Mélie et Pauline étaient comme durant le reste de la journée de corvé et donc s'occupaient toutes les deux de débarrasser la table, de laver la table, la vaisselle, essuyer cette dernière puis la ranger. Elles allèrent se laver tour à tour puis se se faisaient mutuellement leur coiffures avant de s'installer dans leur lit respectifs et discuter discretement quelques minutes avant de se coucher. Rien qu'un soir comme les autres, cette même routine qui durait depuis des années mais qui les avaient rendu proche au possible. Cette proximité rendait ces journées que l'on pourrais trouver lassantes et répétitives pleine de bonne humeur. Cette proximité était d'ailleurs si forte qu'elles souhaitaient, quand elles auront atteint l'âge moyen des jeunes filles qui se mariaient, être concubines et ainsi passer le reste de leur vie ensemble.

______________________________________
"""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""""

Holà hallo hello bongiorno chers lecteurs et lectrices. Comment allez-vous ? J'espère que ce nouveau chapitre vous a plu et vous a surpris (et bien sûr que je ne fais pas trop de fautes). Qu'en avez-vous pensé ? Si vous trouvez que j'aurais certains points à améliorer par la suite ou quelque chose que vous n'auriez pas compris (parce que quand j'écris je suis dans la bulle et certaines choses peuvent me paraîtrent claires alors que pas du tout pour vous -wouuups) n'hésitez pas à m'en faire part. Sur ce je vous souhaite une agréable journée ou fin de journée, adios tschüss bye ciao :')

Pauline [Titre Provisoire]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant