Episode 2

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L'enfant de l'inspecteur Harry Beckman est né. Le hasard a fait que sont enfant est né le même jour et a la même heure que la mort de son père qu'il ne connaîtras pas malheureusement. Touts les papiers administratifs ne sont pas encore remplis pour le décès, les médecins ont décidé de patienté quelque minute pour permettre a la femme de l'inspecteur de ce remette de son accouchement avant de lui annoncé la nouvelle du décès de son mari.

Dans la salle où est le cadavre du pauvre inspecteur beckman en attendant son transfert vers la morgue, une fois les papiers remplis. Le corps est la sans vie, allongé sous un drap blanc. Un homme entre dans cette pièces, il a une allure assez étrange. Il n'est pas médecin ça c'est une certitude. Il approche le corps de l'inspecteur Harry saissi le drap. Lorsque la porte s'ouvre. L'homme étrange relâche le drap puis reste immobile. Personne des deux médecins rentré ne semble le voir, mais qui est cette homme dont la présence ne semble être visible par aucune des personne présente. Les deux médecins ont une impression étrange qui s'installe.
— Dit moi Éric, quand tu entre dans une salle où ce trouve le corp d'un homme décédé, tu n'a jamais eu une sensation bizarre ?
— Pas toujours, mais je dois avouer que parfois je ressent comme une présence dans la pièces, cela m'angoisse tellement que je fait vite ce que j'ai à faire, puis je sort sans me retourner. Et je t' avoue qu'en ce moment c'est exactement ce que je ressens.
— Moi aussi. Finissons vite et sortons. Je me sens vraiment mal à l'aise.

Aussitôt terminé, aussitôt sortie. L'homme encore présent dans la pièce  lève finalement le drap. Mais que veut cette homme à l'inspecteur Beckman ? Qui est cette homme ? si l'on peut l'appeler ainsi, car un homme qui n'est pas visible au yeux des autres ne doit certainement pas être humain. Une fois le drap partiellement retiré du visage de l'inspecteur, l'homme secoue le cadavre comme si il voulais le réveiller. En le remuant il lui dit  plusieurs fois de suite.
— Allez inspecteur, viens à moi, il faut que je te parle.
Après cinq tentative, il ce passe quelque chose de très impressionnant.
Comme si une ombre venait de quitter le corps du regretté Beckman. En effet son âme a quitté son enveloppe corporel, le voici face à cette personne dont il ne connaît absolument rien.
— Qui êtes vous ? Et que fait je ici ?
Harry est très nerveux, le voilà seul avec une personne dans une pièce sans même savoir pourquoi il est ici.
— calme toi, je vais tous t'expliquer.
Tu as été tuer hier soir à l'entrée de la clinique. Un homme t'a tiré une balle dans le dos, tu t'ai écroulé, les médecins ont tout tenté, mais ton cœur c'est arrêté.
— Mais qu'est ce que vous raconté je suis en vie. La preuve je vous vois et je vous parle.
— Non tu est de l'autre côté. Mais c'est  typique, la phase une, le dénie. Chaque personne n'accepte pas la mort avant dans avoir la preuve.
— Mais bien sûr ! je ne sais pas qui vous êtes, mais vous êtes un marrant.
Si vous dites vrai prouver le moi.
— Très bien, tu vois ce Corp sous le drap, et bien lève le, ta preuve est la sous ce drap.
Harry lève le drap avec un petit brin d'angoisse non pas qu'il  croit ce qu'il vient d'entendre, mais il ne peut s'empêcher de ce demander qui peut bien être l'homme dessous.
Il pose sa main sur le haut du drap, le soulève délicatement, et la avec une énorme stupeur, il découvre son visage d'un blanc cadaverique. Il relâche le drap, prend quatre à cinq pas de recule puis ce met subitement à hurlé. La personne a ces côtés lui demande quasiment aussitôt de ce calmer, lui indiquant que de toute façon il ne peut plus rien changer, qu'il est belle et bien mort. Puis il le fixe droit dans les yeux et lui dit.
— Et oui tu est mort, c'est triste mais c'est comme ça. De plus ton enfant est né et tu ne pourras jamais le voir ou bien même revoir ta femme.
— Quoi!? Mon fils est né !
— Oui, cela au moment même où tu est mort, exactement à la même heure.
L'homme éclate en sanglot, pousse des hurlement digne des plus grand films d'horreur. Il ce fait stopper de la même façon que tout à l'heure puis l'étranger lui dit.
— Tu dois te faire une raison, tu ne les reverra jamais.
— Comment est ce possible ?
— C'est comme ça, c'est la vie ou plutôt la mort. Lache t'il avec un sourire de côté. Tu ne peut plus faire machine arrière. A moins que...
— A moins que quoi !?
— J'aurais peut être un moyen, mais il va falloir faire des consessions.
— Dit moi, je suis prêt à tout, dit moi.
— A tout, vraiment ! Alors j'ai peut être  un pacte pour toi. Lui dit il avec un sourire qui en dit long.

flic d'enferOù les histoires vivent. Découvrez maintenant