Je pense que je n'ai jamais ressentit ça ;
Mes os sont transis d'effroi ,
Mon cœur bat la chamade,
Je n'aurais pas le temps de dire au revoir.Je pense que je n'avais jamais ressenti ça ;
La certitude que la mort te pourchasse.
Une fois touché comme une proie,
Je n'ai pas le temps de débattre : la mort est déjà là.Je ne ressens rien d'autre que de la peur ;
Je suffoque, pleure en silence, et attends des heures.
Je n'échapperai pas de ce couloir si noir ,
Qui me hantera tous les soirs.Le bruit est assourdissant,
Il tambourine mon cœur,
Je cours, je hurle, je fonce .
Ce soir, ce ne sera pas mon heure.Le silence revient, mais il est terrifiant.
Ma respiration saccadé me trompe.
Il va me trouver, je le sens.
Mais je n'entends rien, c'est le silence.Le silence, oui c'est ça .
Le silence, oui je vois...
Le silence, dans le noir ...
Le silence, s'empare de moi.
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Encore Des MAUX
PoesíaLa plupart des maux se taisent ou s'enterrent, ils cherchent à se cacher , rester dans l'ombre. Et y en a d'autres qui sont plus rebelles, ils hurlent à tel point qu'ils se voient de l'extérieur. Je suis une âme mutilé, hanté par des cauchemars réel...