Hier lorsque je me suis levé j'avais soixante ans,
Demain lorsque je me leverais j'en aurais soixante et un,
J'ai vu mes amis vieillir et devenir aigri un à un,
Chacun comptant les bougies nonchalemment,Pourtant ils seraient assez prêt à tuer,
Pour revenir à leurs adolescence et leurs insouciance,
Car ils voudraient ,au fond, pouvoir encore rire et jouer,
Sans avoir à faire leurs pauvres condoléances,Ils éprouvent même le besoin de retourner travailler,
Ils vous disent que c'est l'habitude où que les jeunes ne savent pas faire,
Alors qu'en réalité ce ne sont que des gens qui ne savent pas quoi faire,
On appelle cela, chez les gens normaux, s'ennuyer.Mais attention ! ils vont te dirent qu'ils pensent à la société,
Pourtant ont sait tous qu'ils ne pensent qu'à leurs propre bien,
Ne comptez pas sur eux ils ne vous donneront rien,Ils passent leurs vies en hiver et ne connaissent pas l'été.
•••
Je tien à préciser que je ne juge en aucun cas les personne âgés.
M. 30mai
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Avion de papier
PoetryMes pensées sont comme les étoiles, elles viennent la nuit, et brillent de milles feu, on ne peut les attraper et elles sont présentent chaque soir, haut dans le ciel. Chaque jours de nouvelles s'ajoutent, on ne peut les compter, seulement les conte...