Toujours vaste et à perte de vue,
Sur le sol étendu,
Qui caresse le sable,
Où tu créer des dessins effacables.Silence lors de la mer calme,
Soudain brisé par un coup de palme,
Silence cassé suite à la mer agitée,
Donnant de quoi s'amuser.Et tu souriais allongée sur le sable,
Avec tes marques appréciables,
Regardant une dernière fois ses bouées,
Et voilà c'est la fin de l'été.M&J. 29 juillet
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Avion de papier
PoesíaMes pensées sont comme les étoiles, elles viennent la nuit, et brillent de milles feu, on ne peut les attraper et elles sont présentent chaque soir, haut dans le ciel. Chaque jours de nouvelles s'ajoutent, on ne peut les compter, seulement les conte...