Le Carnet Maudit

chapitre 3 : un autre monde

N'ayant rien de mieux a faire je decendit la vallèe en recherce de réponse, je voullais savoir où j'étais et si possible pourquoi j'étais là. Juste entre la colline dans laquelle je suis se trouvais une épée planter dans le sol.

L'épée semblait mesurer plus de trois mètres, de prmière vu elle avait l'air beaucoup trop lourde pour moi. Mais juste pour m'amusais un peu je me décida de prendre, sans que je compris réelement pourquoi c'était éntonament simple

L'épée qui était long, ne paisais presque rien pour pour moi. Mais ce n'était pas la seul chose qui me tracasse, je ne savais pas pourquoi mais cette épée allait mais j'avais une intuition qui me disait que cette arme allait devenir d'une grande aide a l'avenir.

Je continua d'avancer sereinement lorsque je sursauter, une vois se mit a parler dans mon esprit. Je pouvais clairement savoir que c'était celle d'un veille homme, pas une vois malaisante comme celle du mec chelou de l'autre jour, mais une vois rassurante, le genre de vois bienveillante que tu veut absolument entendre. Elle me dit :

« Jeune homme j'ai un service a vous demander »

-Ok... Mais vous étes qui vous ? »

-Ce serait compliqué de tout t'expliquer maintenant, mais tu es en danger, si tu n'arrive pas a détruire la forterresse du mal situer quelque part dans ces terres tu vas être sacrifier par Olaf le mage noir »

-Pas de problème, c'est très chelou votre histoire messieurs. »

-Chelou... C'est ce mot que vous les jeunes de nos jours utiliser pour dire bizarre, pas vrai ? Je te comprend, cependant si tu sens le besoin de revenir dans le monde réel dit le moi et tu y sera »

-Merci, mais... Il se passe quoi dans le monde réel ? »

-Ton corps est en mode pilotage automatique, donc a moin d'une grande attention personne devrait s'appercevoir que tu es ici »

Ce que je venais d'entendre semblait être le scénario d'un écrivain de Wattpad... Pfff quesque je dit, je ne suis pas dans un roman. Je prenais du temps a digerer la nouvelle, que ma vie étais en danger de mort.

Ne voulant pas mourir je me décida de partir a la recherche de cette fichu forterresse, après une bonne heure de marche je devais prendre une pause. J'étais a bout de force,je m'arreta dans une forêt près d'une rivier pour m'y desalterais.

C'était la où je me rendit d'une compte d'une chose fondamental, auquel j'avais pas penser. La forterresse du mal était garder et ce mage noir a certainement du envoyer ses troupe se debarrasser de moi.

La seconde qui suis confirma mes penées car trois hommes verts de petites taille se mirent a m'attaquer, j'était seul je pensais que mon heure avait sonné. Mais j'avais complètement oublier mon sabre que je brendis aussitôt, la vois elle me dit :

« Ce sont des goblins, Olaf a du t'envoyer ses sbires a ta poursuite. Mais ne t'inquiète pas, ils sont faible tu peus facilement en venir a bout »

J'étais au anges, ma aventure a moi tout seul qui pouvait rêver mieux ? Sans hésiter je pris mon épée et trancha les créatures en face de moi en deux. C'était dégeulasse, mais tellement plaisant a la fois c'était bizarre. Ce sentiment si intense que j'avais connu ce jour me changa pour toujours, ma perception des choses allait être changeait grace a ce maudit cahier j'en avait la certitude

Je sortit de mon cahier pour revenir dans le monde réel, c'était pas encore la fin des cours, je regardit ma montre pour voir qu'il restait seulement dix minutes de cours. Mais ma voisine me regarda d'un air de travers et dit :

« Tu as reagrdé ta montre il a une seconde a peine, d'ailleurs tu étais bizarre durant cette scéance. Si tu mijotte quelque chose crois moi je vais savoir ce que c'est !! »

Voilà de retour a la dur réalité, j'était le voisin de classe d'une folle du travaille. Durant ce qui me restait de cours j'était de quelque sorte toujours dans un autre monde a imaginais a quoi allais resembler ma quète dans ce carnet.
Pourtant je ne pouvait pas savoir pourquoi mais j'avais ce sentiment que quelque chose d'essentiel manquais a ce rêve, comme si j'avais oublier un petit détail qui allait rendre cette expérience parfaite. Je ne savais pas ce c'était mais j'allais pas tarder a le savoir

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