Chapitre 7 : suis-je vraiment maudit ?

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On était tout les deux devant la porte et bien sur Anna paniqua complètement et se mit a criée de tout les sens. De peur que le monstre qui m'avait humilié l'autre jour me refasse la même je mis mes mains devant sa bouche

Heureusement pour moi elle se tu, mais elle retira presque immédiatement mes mains pour me demander :

« Qu'est ce que c'est que cette histoire Emile ?! »

J'étais plutôt gêner et je ne savais pas vraiment par où commencer. Jamais je n'avais du m'expliquer, et pourtant je trouva mes mots :

« Alors un mage noir veut un sacrifice humain, pour ce faire il m'a donner un cahier qui m'attire dans ce monde et si je ne trouve pas la forteresse d'ici la fin de l'année scolaire je serais mort. »

Elle me regarda longuement, elle devait faire tout son possible pour croire que je lui mentait. Pourtant aussi farfelue que cela pouvait lui sembler c'était la vérités. Elle regarda ses vêtement et constata qu'elle était vêtue d'une fine tunique verte, d'un arc de même couleur et plein de flèches

Soudainement une vois apparais dans ma tête, celle qui m'avais guider jusqu'à mon épée qui me dit :

« Cette jeune fille est équiper, peu être pourrait-elle te servir pour vaincre le monstre ? »

Ma réponse première fut non, je ne voulait en aucun cas que cette fille m'aidais dans aucune tâche quel quel soit. Elle était la pire fille que j'avais connu de toute ma vie, et pourtant j'hésitais.

Des milliers de questions tourbillonnèrent dans ma tête en quelque secondes : Comment réagirais t'elle ? Quelle serait sa réponse ? Mais surtout si le manque que je ressentais ces dernier temps n'étais pas en faite lier à tout ça

Je pris mon courage a deux mains et lui demanda :

« Euh, dit Anna ça te dérangerais de m'aider a combattre un monstre ici ? »

-Aller ouais, ce monde m'intrigue vachement j'aimerais bien voir comment est ce monstre »

-Très puissant, puissant au point que j'ai faillit en mourir... »

-Je vois, c'est donc pour ça que tu agissais bizarrement. »

 -Oui tu as tout deviner."

     On ouvra la porte et je n'étais pas du tout confiant de la suite. Je veut dire regardons deux minutes la situation désastreuse dans lequel je m'étais retrouver. Alors j'allais combattre un monstre que je trouvais impossible à battre, monstre qui avait manquer de justesse de me tuer la veille. Maintenant non seulement je risque ma vie, mais celle d'Anna. Sans oublier qu'il m'était évident qu'une première de la classe comme elle pouvait révéler de quelconque talent pour le combat de monstre

            Le monstres nous attendait tel un colosse, un mur qui nous semblait infranchissable. Je fonçait dans le tas mais contrairement à la fois d'avant je pouvais prévoir les coups de mon ennemis. Ce qui me permis de lui mettre plusieurs coups fatal. 
          Sans oublier qu'Anna me couvrait étonnamment bien avec son arc, je n'osais y croire. Mais j'avais mieux à faire que de m'attarder sur ce genre de détail. Car avec un ennemis pareil, le moindre manque d'attention pourrait me coûter la vie. Chaque coups que je donnais était réfléchis, pensait avec sagesse pour faire un maximum de dégât sans nous exposer à une nouvelle attaque.

         Mais je ne pouvait pas le combattre comme ça, mon bras me faisais mal à un point qu'il ne pouvait plus bouger. J'avais fait tout mon possible pour ignorer cette douleur durant la bataille, mais la je ne pouvait plus tenir.

        Le colosse m'avait plaquer au sol, il brandis une de ses haches au ciel, bien décider à porter le coup de grâce. Pour moi c'était la fin de ma vie, j'allais mourir.  Cependant une partie en moi refusait de abandonner si lâchement à la vie. Toute ma vie j'ai considérer la vie comme le plus grand des cadeau, et se tuer serait gâcher ce cadeau merveilleux

         Cela Anna l'avait bien compris et tira cinq flèches en plein dans la tete du monstre qui tomba raide mort. Elle m'avait sauver la vie, Anna la fille chiante première de la classe m'avait sauver la vie. Je n'y croyais pas, et pourtant je devais.

        On sortis du cahier, et se mit au travail qu'on avait prévu de faire à la base. Mais l'atmosphère était désormais bien plus joyeuse. On était devenu des amis, on s'entendait enfin. Jamais je n'avait ressentis une tel chose. Comment avais-je pu faire pour passer à cotés de tout cela ?

          C'était bizarre quand même, ce qui était à la base censé me maudire. Ma apporter mes meilleurs moment de jois de toute ma courte vie


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