Les premiers temps, je dois l'avouer, j'ai beaucoup pleuré.
Pas devant mes amies, bien sur, car je ne voulais pas qu'elles sachent.
Devant elles, je faisais comme d'habitude.
Je souriais,
faisais des blagues,
et riais...
C'est épuisant de faire semblant.
Mon petit A., tu me dois trois boîtes de mouchoirs, quelques pastilles de vitamines et surtout, un nouveau cœur tout neuf pour réparer celui que tu as cassé.
VOUS LISEZ
Cher A.,
PoetryCher A., Ce matin, tu as toqué à ma porte... J'étais contente, mais je n'aurai peut être pas du te laisser entrer. Image de couverture : Tirza van dijk, via Unsplash.