Mais toi, mon cher petit, mon minuscule A., je crois que je te déteste.
Et je ne veux plus jamais te voir.
Mais avant ça A., j'ai quelque chose à te demander... Ne déçois pas Élise comme tu m'as déçue.
Car à défaut de voir les papillons avec toi, je voudrai entendre son rire cristallin pour toujours.
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Cher A.,
PoetryCher A., Ce matin, tu as toqué à ma porte... J'étais contente, mais je n'aurai peut être pas du te laisser entrer. Image de couverture : Tirza van dijk, via Unsplash.