Expiration.

Chapitre IV : Fin du séjour.

Quelques heures étaient passés et j'étais toujours chez Louis, on discutais sur plusieurs sujet divers assis sur le canapé quand brusquement son téléphone se mît à sonner. Je détournais le regard et pris un magasine, j'essayais de me concentrer sur les articles sportifs mais ça ne m'intéressais pas tellement, j'entendais des brides de conversation "oui mon cœur", "ma cousine est chez moi en ce moment".

Sa cousine, il avait dis ça au type de se matin aussi.

Quelques minutes après, il raccrochât et planta ses yeux dans les miens.

"-Ta cousine? Lui demandais-je perplexe.

-Ouais.. C'était ma copine et elle est plutôt du genre jalouse alors...

-Je vois. Je me tue pendant quelques secondes. Comment elle s'appelle?

-Eleanor.

-Clader?

-Oui, tu la connais comment ?

-Elle est a l'université avec moi, enfin je la croise dans les couloirs quoi."

En fait, quand j'étais rentrée a l'université, j'étais rapidement sortie avec un brun ténébreux qui répondait au prénom Mathew mais la belle Eleanor a rapidement mis fin à notre idylle en couchant avec lui.

J'avais vite oublié cette histoire en me consolant dans les bras de Logan, son meilleur ami, qui est toujours mon petit ami d'ailleurs.

Après toutes ces heures passées avec lui, je me décida enfin a partir, il était temps que je rentre chez moi. Mon vrai chez moi je veux dire, en France.

La ou j'ai toujours vécu, ma mère est née en Bulgarie mais elle et ses parents l'on rapidement quittée pour s'installer en France. Mon père lui est natif d'Angleterre qu'il quitte pour ses études. Il y rencontre ma mère avec qui il se mari et élève cinq merveilleux enfants (dont moi) puis ils divorcent et mon père part vivre aux États Unis avec une pouf de la bas. Fin de la love story et de mon histoire familiale.

C'était les vacances de Noël et je comptais donc rentrer passer les fêtes en famille, et mon train partait dans quatre petites heures.

"-Louis, je dois y aller.

-Aller où?

-Chez moi?

-Ah...Oui. Il fit la moue.

-Je voudrais pas trop t'en demander après m'avoir sauvé la vie mais, tu voudrais bien me ramener chez moi en voiture?

-Pas de problème."

Il pris les clés déposées sur une soucoupe a cet effet, il claqua violemment la porte derrière nous et la verrouilla.

Lorsque nous sommes descendus j'ai pu remarquer que son appartement se trouvait dans un quartier relativement riche de Londres, quelques flocons étaient tombés sur la route et les voitures les écrasaient sans la moindre compassion, le ciel était d'un gris métallique, journée banale a Londres.

Louis marchait en direction de sa voiture garée à quelques pas de son immeuble. Un tract avait été déposé entre les essuies glaces, "je m'en fou" marmonnait-il. Il monta dans la voiture et alluma la contacte, je me glissais à la place du passager.