Je me réveillais doucement. Je m’étirais et je regardais autour de moi. J’étais dans une chambre, qui n’est pas à moi. Je pris mon portable, il était 8h37. Je me levais et remarquais que j’étais en t-shirt et jogging. Je fis le tour de la pièce. Ma valise était posée au bout du lit. Un bureau en bois était placé à la droite du lit, avec un ordinateur dessus. Un miroir était placé sur le côté. A la gauche du lit, un dressing. Mais où pouvais-je bien être ? Que c’est-t-il passé ? Je me souviens mettre faite agressée, quelqu’un est venu me défendre puis plus rien. Et si c’était mon agresseur qui m’avait enfermé ici ?! Je paniquais.
J’essayais de respirer calmement. Il fallait que j’essaye de savoir où j’étais. Je pris la décision de franchir la porte. Elle n’était pas verrouillée, ce qui me soulagea. On ne cherchait pas à m’enfermer. Je passais la porte et étais à présent dans un couloir, avec beaucoup de portes. Sur la droite, un escalier. Je m’approchais de celui-ci discrètement. J’entendais quelqu’un siffler. Que dois-je faire ?
Je commençais à descendre les escaliers calmement. J’atterris dans un salon bien décoré : deux canapés, un écran plat, des consoles de jeux, une plante, une table basse et un bar. Cependant, je continuais de chercher d’où venait le sifflement. Il venait de ma gauche. Je tournais alors la tête, la porte était ouverte et menait vers une cuisine aménagée. En face de moi se tenait un garçon. Je ne faisais aucun bruit, ne voulant pas attirer l’attention sur moi. Je me retournais, je voulais retourner dans la chambre, je commençais à sortir quand j’entendis le garçon.
? : Hey, tu fais quoi ?
Je me retournais, légèrement gênée par la situation. Le garçon été grand, assez musclé mais mince. Son visage était pâle. Ses cheveux étaient en bataille, bruns avec des mèches violettes foncées. Il était terriblement beau, si on aime le style punk.
? : Michael.
Je ne comprenais pas ce qu’il me disait. Pourquoi disait-il ce prénom ?
? : C’est mon prénom. Il rigolait
Ah, d’accord je comprends mieux !
Michael : Et toi, mademoiselle ? Tu t’appelles comment ?
Moi : Horia.
PDV Michael
Je regardais la dénommée Horia. Ses cheveux châtains lui tombaient sur la poitrine, son visage blanc ressemblait à celui d’un ange. Son corps était parfait. Je ne regrette pas de l’avoir sauver. Je le regardais et je vis ses joues devenir rose, sûrement gênée de la situation. Elle était adorable !
Horia : Et donc … pourquoi suis-je ici ?
Moi : Hier tu t’es fais agressée, je t’ai sauvée. Tu as perdue connaissance et je t’ai donc ramenée chez moi.
PDV Horia
Je comprends mieux. Ce garçon est adorable.
Moi : (timidement) Et c’est toi qui m’a …
Michael : Qui t’a … ?
Moi : (rougissant) – Qui m’a changé ?
Michael : Oui.
Je rougissais à l’idée de savoir que Michael avait pu me voir en sous-vêtements. Je ne savais plus quoi dire et Michael le remarqua vite.
Michael : Je t’ai préparé des gaufres. Me dit-il en montrant l’assiette du doigt.
J’hochais là tête m’installais sur le tabouret, commençant à manger les gaufres. Elles sont délicieuses ! Michael posa une assiette en face de moi et s’installa afin de manger à son tour.
Moi : Ne t’inquiète pas, je ne compte pas t’embêter longtemps, je vais bientôt partir.
Il me regarda avec de grands yeux ronds, comme si j’avais dis une bêtise.
Michael : Tu rigoles ? Tu ne m’embêtes pas. Tu peux rester le temps que tu veux, mais préviens tes parents si tu veux.
Mes parents, ah oui. Ils m’avaient chassé de la maison comme on jette un poisson rouge dans les toilettes. Je ne dis rien, je ne savais pas quoi lui dire. Je ne pouvais pas vivre chez lui une éternité, il fallait que je parte un jour. L’idée de n’avoir plus rien pour vivre me rendait triste et vulnérable. Une larme coula le long de ma joue. Je partais de la cuisine et monta à la chambre.
PDV Michael
Je vis Horia lâcher une larme et se lever d’un seul coup afin de monter dans la chambre. Je la suivais. Je pénétrais dans la chambre. Elle était allongée sur le lit, recroquevillée. Je m’assis sur le lit à côté d’elle et caressa son dos, ce qui la fit sursautée. J’avais oubliée l’agression.
Moi : Horia, ne pleure pas. Explique moi … J’aime pas voir les filles pleurer.
Elle se retourna vers moi. Cela me fit de la peine de la voir dans cette état. Je voulais en savoir plus sur elle.
Horia : Je …
Moi : Prends ton temps …
Elle respira un bon coup.
Horia : Mes parents m’ont chassés. J’ai fait la bêtise de trop. Je n’ai nulle part où aller.
J’étais choqué. La pauvre. Comment des parents pouvaient-ils chasser leur enfant de leur maison ?
Moi : ...
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Coucou ! Vous allez bien ? :)
Que pensez-vous de ce chapitre ? Je sais qu'ils ne sont pas très long, mais ce n'est que le début, faut y aller en douceur, non ?
Je commence à écrire le chapitre 5 sûrement demain et j'ai hâte de vous le faire découvrir !
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FanFiction Michael Clifford : "Angel"
ФанфикHoria : Si tu savais … à quel point je suis heureuse de t’avoir. Tu as été tellement gentil avec moi... Tu m’as recueillie sans me connaître et... La jeune fille se mit à pleurer de bonheur, tous ces sentiments étaient beaucoup trop forts. Le garç...