It's Just Us Two 《 Mark Tuan 》

Chapitre 8

Lorsque Hanae fit irruption dans la salle d'entraînement, les filles étaient en train de répéter et elles semblaient déjà avoir prit beaucoup d'avance sur elle.

La leader vit soudain le reflet de celle ci dans l'immense miroir de la salle, et prit l'initiative d'interrompre la danse pour aller lui parler. On pu entendre toutes les autres filles râler, ce qui renda Hanae honteuse de ce manque de rigeur dans son travaille.

- C'est quoi ton motif ? Ordonna la leader.

- J'ai dû aider un ami qui était à l'hôpital.

- Ça passe pour cette fois Hanae, mais si tu recommence je serais dans l'obligation de prévenir JYP.

- Merci beaucoup mimi.

- C'est bien parce que tu es là meilleure d'entre nous ! Dit elle en souriant et en lui faisant une accolade amicale.

Lors de la répétition, Hanae se donna corp et âme et n'hésita pas à repousser ses limites, pour essayer de faire oublier à toutes ses retards répétitifs.

Elle avait remarquer les regards noir et presque menaçant de Lin-ming, mais elle n'y prêta pas attention, trop occuper à assimiler le plus vite possible tout ce qu'elle avait loupée lors de son absence.

Une fois la séance terminée, tout le monde se félicita pour le travaille fournit. Elle savait à quel point devenir une idole était difficile mais elle s'accrocher, ne pensant jamais de renoncer à son rêve.

Elle s'assit sur le banc présent dans les vestiaires afin de reprendre son souffle et de profiter d'un petit moment de répit.
En face d'elle, Lin-ming semblait avoir quelque chose à dire mais se retint. Elle avait le visage fermer et les traits dure. Hanae avait sûrement dû avoir fait quelque chose encore, pourtant elle réfléchie, mais elle était aussi innocente qu'un nouveau née.

Curieuse, elle ne pu retenir sa langue à son tour et posa, ce qu'elle allait sûrement regretter aussitôt.

- Ça va Lin-ming ? tu as l'air tendu.

- Désolé, je ne perd pas mon temps à papoter avec une hypocrite.

- Qu'ai je fais pour te mettre dans cette état ?

- Commence par arrêter de lécher le cul à mimi.

- Ah.... désolée, mais je ne peux pas m'en empêcher, elle a du miel coller au cul. Dit elle en ironisant la situation.

- Tu es vraiment pathétique.

- Et toi tu es quoi ? Arrête de faire chier ton monde un peu.

- Ne t'inquiète pas on sait que tu es là meilleure dit elle amèrement, mais pas la peine de faire la faillote.

- Au lieu de te contenter de critiquer et de rabaisser les autres, tu ferai mieux de conscarer ton temps à travailler un peu plus, si tu espère un jour atteindre mon niveau.

- Il y a deux types de personnes dans la vie, celles qui partent avec de la chance de leurs coter et d'autre qui doivent ramer pour y arriver.

- Si tu sous entend que c'est parce que tu as de l'argent que tu y arrivera tu te trompe.

- Ah oui ? C'est ce que tu crois ?

- JYP m'a choisit parce que je travaille dur pour y arriver et que je me surpasse sans arrêt pour ne pas me décevoir. Et toi ? C'est parce que papa et maman sont là, c'est tout.

- Je n'y peut rien si même ta famille t'a rejeter comme une merde. Même eux ne veulent pas de toi ! Au bout d'un moment il faut se remettre en question ma belle. Dit elle sur un ton enthousiaste.

- Je te conseille d'arrêter, tu en as déjà trop dit.

- Tu sais, peut être que les autres ont pitier de toi à cause de ça, mais moi je n'en ai aucune pour toi. Tu es juste une merde que je dois écraser pour pouvoir briller comme il se doit.

Hanae aller s'empresser de lui répondre sauvagement mais elles furent interrompue par la sonnerie du téléphone de Lin-ming.

Lorsque Hanae vit la photo de Mark l'apeller, son visage se crispa instantanément. Lin-ming l'avait remarquer, et avant de décrocher, elle lança un regard emplie de joie, suivit d'un sourire narquois.

- Oui mon amours... Oui! Hmm

Ne pouvant plus supporter une humiliation de plus, Hanae s'empare de ses affaires avant de quitter vivement la pièce.

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- Comment ça ? Vous dites que la porte n'a pas était forcer.

- Exactement Monsieur, il ni a aucune trace d'infraction. La personne qui est entrée ici avait les clefs. Lui confirme le serrurier.

- Ce n'est pas possible ! Il ni a pas de double !

- Je connais mon métier, ça fait 20 ans que j'exerce.

- Très bien. Changer moi la porte alors.

- Il faut une autorisation du propriétaire.

- Et une augmentation de salaire, ça vous va ?

L'homme ne répond rien et sort son matériel afin de répondre au désir du client.

Un vieil homme rode dans les couloirs de l'immeuble. Il s'arrête brusquement devant le serrurier et fronce les sourcils.

- Bonjour, excusez moi de vous déranger, mais qu'êtes vous en train de faire ?

- Je change une porte ça ne se voit pas?

- Mais qui vous a donner l'autorisation ?

- Lui. Dit il en pointant Mark du doigt. Il venait justement de faire son apparition.

- Il y a un problème ? Réplique sèchement Tuan, en regardant froidement le vieil homme.

- Oui il y en a un ! De quel droit vous vous permettez de faire changer une porte d'entrée sans demander une autorisation au propriétaire ? Dit il en haussant le ton.

- Qui êtes vous Monsieur ?

- Je suis le propriétaire ! 

- À ce que je sache je paie correctement mes loyers tout les mois, et je suis discret, alors ce n'est pas Parce que je change la porte que vous allez m'embêter. Et à ce que je sache j'ai encore le droit de le faire !

- Mais qui êtes vous ? Vous n'êtes pas mon locataire ! Je ne vous ai jamais vu !

- Euh... mais si bien-sûr que si, ça fait des années que j'habite ici. Tente d'être crédible le jeune homme.

Le visage tendu, le vieil homme jette un oeil sur le numéro de l'appartement pour vérifier et ses soupçons sont confirmer.

- Je connais parfaitement bien mes locataires ! Et vous n'en faites pas partis. C'est Mlle Hanae qui habite ici ! J'apelle la locataire ! s'exclame t il.

- Non surtout pas !

- Très bien ! J'apelle les flics alors ! Hurle le vieux.

Mark ne bronche pas. Il préfère de loin affronter la police plutôt que la colère noire d'Hanae.

- Qu'est ce que je fais moi ? Demande bêtement le serrurier.

- Éloignez vous de la porte ! Ordonne le propriétaire, alors qu'il était en train de discuter en même temps avec la police.

- Continuer, N'oublier pas la prime ! Les temps sont durs en ce moment. Chuchote discrètement Mark au serrurier. Ce dernier s'excute, débordant de motivation.

- Ils arrivent.

- Très bien, je ne bouge pas.