Sur Le Ton D'la Musique

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Le première fois pour avouer la vérité
J'avais dit que c'était une blague
Elle disait "si tu m'le refait je te tue sur le champ avec ou sans ma dague",

Pourtant j'étais déjà mort
Par sa voix
Mort par ces mots
Par la personne qu'elle montrait
Par la personne que je pensais qu'elle était
Et par la personne qu'elle est.

Après 3 décennies passées à se parler qu'au téléphone,
Seulement ce jour là suffisait pour me ressusciter d'entre les morts de ce meurtrier qui ne tombe jamais amoureux,
Elle me lança un regards qui n'existait pas dans mon monde,
Un sourire que j'avais vu seulement sur les lèvres de ma mère quand elle avait rencontrer mon beau-père qui me met toujours en rogne,

Elle m'a touché avec la main d'Aphrodite sous la musique d'Apollon
Sa voix me jouait la flûte enchantée sous les électros d'avicii,
Ses lèvres menaçait de me tuer comme ceux de l'oracle qui tentait de tuer Hypérion
J'avais pas peur au cas où une telle mort surgissait parce qu'elle était là pour ma résurrection.

Elle a fait de moi un spectre sous les yeux de la mort qui avait tort de me torturé de la sorte pour éviter que je devienne un amoureux du trône de la mort dont les morts et la mort elle-même auraient une peur morte sous mon sceptre.

Elle a le charisme de Néfertari
J'oserais pas la comparé à une sirène
Se serait un manque de respect à son égard,
Elle a fait tomber toute ma ferté dans la monarchie
C'était pas la méduse de ce jour mais j'évitais de croisé son regard

Ce jour-là c'était la 3e guerre mondiale dans ma tête où mon cœur voulais prendre l'amnistie,
Ce jour-là j'ai tué,
Enterré ma vie de celibat,
Parce qu'elle m'avait montré l'empathie...

Cette Femme Où les histoires vivent. Découvrez maintenant