Ils étaient assis au milieu d'une pièce, attacher dos à dos, les mains liés entre elles. Les deux corps étaient nu, et leurs âmes endormies..

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 Albert, à été diagnostiqué maniaco dépressif à l'âge de 20 ans.  Aujourd'hui il est âgé de 35 ans, il n'a aucune attache personnelle, ni professionnelle. Il vit seul dans un 15 m² en plein milieu de la capital... Il n'a pas un physique extraordinaire, il était grand et musclé, tout ce qu'il y a de plus commun. Pourtant Albert, à des troubles de la personnalité durant des périodes plus ou moins longues selon les symptômes ressentis par celui ci. Depuis son diagnostic, notre malade rend des visites chez le psychologue, une à deux fois par semaines selon le nombre de crise effectué. Les conversations avec celui ci, tournaient souvent autour de ces parents, malheureusement décédés d'une cause incertaine.

Dans les journaux, ces parents s'étaient suicidés ou alors le meurtrier avait étonnamment bien dissimulé les preuves. Albert se trouvait là, au moment des faits mais jamais le jeune homme  n'avait osé se prononcer à ce sujet. Pourtant tous les psychologues et médecins, ainsi que sa famille, avaient tenté de l'interroger mais en vain.

Après la mort de ces parents, Albert fut transférer de famille en famille, d'oncles à tantes, de cousins à grands parents mais à a chaque fois il retourné voir, la même personne, sans aucun doute la pire ; tante Kelly. Pour lui, la vie là bas, était pire qu'un foyer ou maison de correction. Elle était  vielle, enfin la soixantaine, cheveux gris, jamais coiffé, toujours du whisky dans sa fiole, toujours de mauvais poils. Pire que son père au réveil disait il, mais elle sa durait toute la journée, des fois sa lui arrivait de ne dire aucun mots pendant des jours mais le jeune homme devenait habitué.  


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Toujours les mains liées entre eux, les deux individus observaient la pièce. Ils ne voyaient presque rien, ils délimiter les objets ce trouvant dans celle-ci ; un lavabo, un meuble, des outils posaient sur un table à environ 50 cm et en face d'eux un miroir qui reflété la pièce aux deux victimes... Leurs cœurs battaient les chamades, leurs rythmes cardiaques s'accélères jusqu'à suffoquer, derrière eux ; un homme environ 1m80, plutôt musclé, un masque sur la tête et une odeur de transpiration remplissaient le nez des victimes... Afin de savourer la peur et l'angoisse des deux pantins, l'agresseur ce plaça devant et s'asseye en les regardant avec attention.Il plaça aux pieds de la jeune fille, un serpent, qui commença à lui ingurgité la jambe. Le même sort s'acharne sur le jeune homme qui lui se fait absorber le bras. Leurs peaux palis et l'individu rendu la liberté aux serpents et aux individus. Ils reprirent leurs souffles et consciences après quelques minutes, a leurs réveilles ils étaient détachés et nus... Ils se mirent à marcher vers le miroir et découvrirent un visage maigre et détruit pas de micro coupure. Sur le mur, des traits, cinq puis dix, et vingt et quarante... Quarante jours qu'ils étaient là. 


Aucun souvenir, aucune pensé, aucun geste, juste des sieurs froides... Le pied et la main des individus reprirent leurs couleurs.

Aucune idée de leur agresseur et de pourquoi ils étaient là, ils pensèrent à un malade mental mais ils allaient découvrir que c'était bien plus que ça.

AlbertOù les histoires vivent. Découvrez maintenant