~ Chapitre 1 ~

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Depuis la découverte du tombeau. Les Égyptiens espéraient que l'argent aurait coulé à flots à partir de la vente de la momie, car depuis peu, de violents locataires empestèrent dans les villes... Dans les foyers ont les cités comme des imposteurs, des hommes de guerre, personne ne savait par qui ils étaient dirigés, ni si leurs activés allaient cesser mais les nombreux pillages, séquestrations de femmes et de jeunes filles font paraître qu'elles continuèrent... Les nombreuses familles égyptiennes sont pour la plupart très pauvres et vivent seulement de l'agriculture ou de l'élevage des quelques bovins qui n'avaient jamais été capturés par les groupes terroristes.

A Amrit, la joie sur les visages des quelques habitants y restant ont laissés places à la misère et à la tristesse... Même le dernier petit commerce qui n'était autre qu'un vieux bar repris par une ancienne ouvrière, laisse une radio triste de vide. Ce village était comme rayé de tout bonheur. La famine s'y installa peu à peu tout comme les groupes d'hommes armés qui y venaient pour récolter les derniers vivres que ce pauvre village avait en réserve. La ville la plus proche se situait à 3 heures de marche sans le moindre arrêt, sous un soleil de plomb et une chaleur inconsidérable. Ce qui faisait le plus de peine aux paysans ce n'était pas la malédiction qu'avait posée Akhemaris... Mais plutôt ce que faisait le gouvernement pour arrêter les conflits entre l'armée et les terroristes, Seul un jeune homme avait gardé foi que les relations diplomatiques puissent entraver cette guerre...

Ce jeune homme était aussi celui qui remonte le moral aux personnes de sa petite commune et qui n'hésite pas à faire des aller-retours à Bilbéis pour ramener de quoi rafistoler les quelques bâtisses qui servent de maison pour les habitants... Seul le vieillard du village : Khenadaan ne prêtait pas attention à l'heureux paysan. Les journées sont torrides et les habitants peinaient à rester chez eux avec de telles chaleurs tandis que les nuits sont dangereuses à cause des animaux venimeux qui rôdaient sur le sable encore bouillant... Et c'est un soir où Ymir allez sortir de chez lui pour remonter de l'eau du puit qu'une étrange vague de poussière se dirigea vers les habitations, Il n'eut que le temps de se cacher derrière une maison pour entendre des cris venant du haut de la colline.

Ymir restait pensif, mais il savait bien que ces cris n'étaient pas normaux... Il courut jusque devant le bar et sonna la cloche d'alerte afin de réveiller les autres paysans qu'une menace approchait, les quelques hardis prennent leurs armes et voient qu'une nouvelle vague de poussière allait s'abattre sur le village... Cependant elle n'allait pas vite et semblait plus être des troupes avançant vers Amrit qu'une simple tempête de sable. La petite dizaine d'hommes armés se tenait prête à défendre leurs familles, lorsque le nuage de poussière se dissipa, laissant apparaître des corps... Cette fois-ci les paysans pensèrent ne pas se laisser abattre par les scélérats qui pilleraient une nouvelle fois leur foyer. Mais les silhouettes étaient très différentes et beaucoup plus éparpillés, les ravisseurs sont normalement en formation très compacte, ce n'était pas des terroristes... Quelques habitants avaient une terrible frousse. Ymir se jeta le premier vers les personnes qui venait de face, mais il s'arrêta net quelques dizaines de mètres après, les hommes qu'il s'apprêtait à attaquer étaient constituer d'os. Le jeune combattant ne pouvait que faire marche arrière et battre en retraite face à cette bande de squelettes...

« Courez ! » Crié Ymir, ils allèrent tous derrière le bar qui était l'endroit certainement le mieux garder... Les ennemis venaient de rentrer dans la maison d'un des habitants... Les cris de sa femme et de sa fille lui faisait horriblement mal, jusqu'à ce qu'il part seul face à la bande d'amalgame d'os, mais sa petite machette ne suffira qu'à lui donner de l'histoire car une fois devant l'ennemi, un unique coup d'épée réussi à lui trancher la nuque en deux... La bande de paysan qui n'avait que la vue pour assister a cette barbarie prenait une entière peur face à ses monstres qui venaient de tuer leurs voisins, même le courageux Ymir commençait à trembler... Les monstres qui ressemblaient plutôt à des squelettes posséder par un démon armé d'une grande espada. Tandis que le petit groupe de combattants n'avaient que des barres métalliques et certains que de simples couteaux de cuisine qu'ils eûrent à peine eut le temps de s'équiper. Les démons squelettiques se déplaçaient vers le reste des habitants, le combat allait enfin avoir lieu, les femmes et les enfants avaient fermés les derniers volets. Ymir fit quelques pas en avant.

Le jeune aventurier sauta sur le premier combattant devant lui qui le repoussa aussitôt, Le squelette dégaine son épée est s'élance pour transpercer Ymir... Il réussit à esquiver et les autres paysans font reculer le restant des ennemis... Les conflits étaient rudes et les armes se fracassèrent, les habitants reprenaient l'avantage et ils pensèrent que leurs ennemis n'étaient sans doute pas si rusés que ça, mais c'était sous-estimé ses adversaires venus du tréfonds, Pendant qu'Ymir était au front face à l'un de ces horribles démons, l'un d'eux le contourna est l'empala un paysan... Ses camarades ne puent que se retourner et se rendre compte que leur ami avait une lame plantée dans le ventre... Un autre ennemi coupa le bras d'un autre habitant, la joie et le rendement de la force c'était inversé, Les paysans du village d'Amrit ne se comptait plus que sur les doigts de la main, Tandis que les ennemis étaient encore une petite dizaine sans plus. Les villageois commencer à se replier, le conflit continua à se dissiper jusqu'à arriver sur l'une des collines proches du village... Ymir se retrouva seul devant l'un de ses grands squelettes, il le regarda dans les yeux et vit comme une lueur frappante suivi d'un mugissement féminin, stridente et oppressante, cette voix n'était pas familière au jeune combattant, mais il en comprit les quelques mots prononcé « Le monde connaîtra les larmes de cette guerre, qui détruira au canon des armes la Terre entière ». Cette phrase l'oppressa tellement qu'il chuta sur le sol et contourna de justesse un coup de lame porté par le même ennemi. Cette phrase avait remotivé le jeune homme et il réussit avec hardeur à éliminer son assaillant. Et même si cette voix semblait toujours lui résonner dans sa tête, son courage triomphant l'aida à vaincre deux nouveaux démons... Ils étaient proches de la parité numérique. Mais les monstres n'étaient pas débiles et ils prirent Ymir pour seul adversaire... Les deux derniers hommes qui ont survécut étaient plus laxistes et leurs compétences au combat étaient nettement plus faibles que celle du petit guerrier, qui lui était suivis de près par trois monstres armés qui avaient déjà décimé plusieurs de ses confrères. Ymir ne pouvait attaquer seul ses squelettes aussi imposants, il n'avait que pour choix de battre en retraite face aux longues lames de ses démons squelettiques. Les autres habitants étaient pétrifiés et aucun ne souhaitait la mort du jeune du village car cela voudrait dire qu'ils mourront à leurs tours, Cependant il ne pouvait que prié car aucun ne voulait prendre les armes et combattre pour sauvé ce qui reste du héros. Ymir ne pourrait tenir plus de temps, il est essoufflé et manque à chaque coup de vaciller sur le sol, seulement protéger par une poutrelle métallique, il arrive a se dégager d'un adversaire avant qu'un second lui mette un violent heurt dans le dos... Ymir était sonné, au sol, la barre qui le défendait était à plus d'un mètre de sa main... Les villageois étaient tous abasourdis, une femme déclara elle-même que la fin était proche. Lorsque le squelette possédé leva son épée une silhouette noire apparue derrière ce même monstre et en un unique coup de poing il désossa le démon. Les deux autres n'ont pas eu le temps de comprendre cette scène que le sauveur les attaqua, et les réduisit en poussière. Le village était libre et le soleil revenu doucement, l'incroyable messie aida le jeune homme à se relever et à l'emmener vers les femmes qui pourront soigner Ymir, jusqu'à maintenant l'identité de cet incroyable personne était inconnue, Mais il leva sa capuche et les villageoises crièrent : « Khenadaan ! ».

La Légende d'AkhemarisWhere stories live. Discover now