Une sonnerie retentit sur la ville,
La panique envahit l'atmosphère.
Des hordes courantes, se cachant;
Seule la haine a sa place à minuit.
Les femmes et les enfants pleurent.
Un groupe armé s'aventure dans la ville,
Des coups de feu fusent,
Des cris, des larmes.
« Pitié, ne me tuez pas »
Une chute, du sang, un lac;
Encore une nouvelle victime.Plus loin, seule dans la ville,
La culpabilité de montre.
Debout sur un pond,
Les mains embrassant le ciel;
Il attend, il attend la fin du drame.
Il espère s'en sortir,
Il aime la vue pourtant.
La peur résonne, le feu brûle l'espoir,
Le chaos réside de son entièreté
De l'autre côté de la ville.
La culpabilité n'est pas visée.
« Abattons l'amour ce soir! »
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Intraveineuse
PoetryDes mots qui flottent dans les cieux pour finir en poème. Des pensées abandonnées sur papier. Un ouragan, une tornade ou bien une tempête, Les mots sont un moyen de sortir de la réalité. Sous le regard de la lune, sous l'admiration du soleil, Tou...