Jardin d'une autre époque abandonné aux vieux habitués,
Ils dépensent une partie de leur vie à observer, admirer,
Des centenaires éternels, de nouveaux nés très vite fanés,
"Quelle étrange loterie!", dansaient ces inombrables pensées.La douce lumière du soleil de fin d'hiver les apaise,
Leurs visages s'adoucissent, laissant juste une parenthèse,
Rétrospective de soi-même pour grandir, continuer d'apprendre sur les d'autres,
Suivant les chemins de graviers, fermons les yeux amis apôtres.Inspiré du conte de Maupassant, Menuet
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Tout ce qui me passe par la tête
PoetryIci viennent s'échouer mes mots, Sensibles à chaque sentiment, Détruits, brisés, fragile radeau, Ils se relèvent en conquérants.