Endormis par le temps qui tourne,
A chaque claquement se retournent,
L'attente les lassent facilement,
Chaque détails et visages sont blancs.
Des jeux inanimés comblent le vide,
A se méprendre, un désert aride,
Où se morfondent impatiemment trop d'êtres,
Tous passionnés par l'unique fenêtre.
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Tout ce qui me passe par la tête
PoezjaIci viennent s'échouer mes mots, Sensibles à chaque sentiment, Détruits, brisés, fragile radeau, Ils se relèvent en conquérants.