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🚫 Je suis responsable de ce que j'écris pas de ce que vous lisez 🚫

Chaques jours c'était pareil, la peur me hantait.
Il venait dans ma chambre, chaque jours un peu plus bourré, quand maman partait au travail.

Cette fois, Jung-Hyun avait décider d'aller dormir chez un ami, il m'avais donné comme conseil de fermer ma porte de chambre. Et de veiller d'avoir un téléphone près de moi. Ce que je fit.
Je m' allongeait dans mon lit, puis posa mon bras sur mes yeux.
Essayant de dormir.
N'y arrivant pas, je prenais mon téléphone et envoyait un message à ma correspondante,
Cette fille était la douceur incarnée, mais j'étais vraiment assez blessant avec elle. Ce jour-ci. Nous nous sommes disputés..
À cause de mon comportement.. Jugé abusif et traité de "connard".
Je me couchais les yeux humides.
Quand plusieurs coups retentirent sur la porte.

- !~ Jungkook !~ Ouvre ta porte. Disait-il encore bourré.

- Laisse-Moi papa, va te coucher, je veux être seul.

- Je te préviens que si tu n'ouvre pas cette porte je la défonce. T'as compriiis ?~
 
Je ne répondit pas, trop apeuré.
La porte s'ouvrit machinalement, je compris qu'il l'avais ouverte.
Je me cachait dans mon armoire respirant assez fortement.

- T'est p'tit con ~ J'ai besoin de toi !~ Riait-il complètement bourré.

Je ramena mes genoux contre moi. Pris de panique je laissa échapper un petit cri de peur.

Des pas se dirigèrent sur l'armoire et l'ouvrirent tout aussi vite.
Sa main rugueuse attrapa mon poignet et me jetta sur mon lit.

- Tu fais comme elles, tu fais ton coincé. Mais tu n'attends que ça.

Des larmes coulèrent sur mes joues.

-Tu sais quoi, je vais céder à ton caprice.

Il saisis ma tête pour que je le regarde dans les yeux.

- Déshabille-toi.

Son regard était plus noir que la charbon, il faisait peur. Je le regardait, impuissant.

- Déshabille-toi je te dis !.

Il m'attrapa par le cou puis me souleva à sa hauteur, puis me dit d'un ton cassant.

- Quand je te demande quelques chose tu le fait. C'est clair ?.

Il lâcha mon cou et me laissa retomber violemment sur le sol. Un gémissement de douleur s'échappa de la barrière de mes lèvres. Il se baissa ensuite a ma hauteur.

- Maintenant, sois gentil et déshabille toi, avant que je ne le fasse moi-même.

Je ne bougea pas pour autant, je ne voulais pas lui montrer mon corps, c'est le mien après tout.

- Très bien.

Il approcha rapidement ses main de mon corps, puis arracha complètement mon pull, pour le jeter derrière lui malgré mes pleurs, mes plaintes et mes débats.
Ses mains parcourirent tout mon torse, passant par mon dos arrivant rapidement à la barrière de mon Jean. Il défit le Bouton et la braillette de mon Jean avant de le baisser jusqu'en bas de mes jambes, j'avais peur.

Ses mains, passaient sur mes cuisses, ouvrant mes jambes de force, il avança dangereusement ses mains vers ce qui faisait de moi un homme et me regarda malicieusement avant de me retourner dos a lui.
Il enchaîna des coups, sur mes pauvres fesses qui n'avaient rien demandées.

Il me retourna ensuite m'obligeant à me mettre à genoux devant lui.

- Enlève mon pantalon. M'ordonna-il.

- Non. Lâchais-je.

Sa main s'abattit alors sur ma joue, la gifle qu'il venait de me donner, fit un bruit sourd dans la pièce ou on se trouvais.

Il enleva machinalement son pantalon et commença alors a frotter sa partie génitale de sa main libre.
Son pantalon enlevé, mes larmes doublèrent et mes joues s' innondèrent alors de celle-ci, voyant la bosse se former.

Il accrocha alors mes mains de la  ceinture ayant auparavant autour de son pantalon, immobilisant le moindre geste, me faisant paniquer.
Il enleva alors son dernier tissu dévoilant devant moi son engin grandement excité. J'avais tellement peur..

Il me regarda d'un air hautain avant de me dire ces deux mots faisant tripler la douleur ressentie dans mes poumons.

-Suce-moi. Disait-il la voix dure.

Je refusais, fermant ma bouche et fermant fortement les yeux.
Lui, n'étant pas du même avis que moi m'obligea a faire ce qu'il voulait. Sa l'amusait. Me voir souffrir et presque m'étouffer avec sa partie génitale le distrayait. Il se délectait de mon visage écœuré et tordu par la douleur.

Un substance amère, salée et pâteuse, remplit ma bouche de manière sale qu'il m'obligea à avaler.

Il me détacha et partis simplement de la salle, me laissant seul, je fondus en larmes sur mon lit.

Ce que je pense de moi ?.
Je me sens sali.
Voilà comment je me vois.

Écrit le Jeudi 16 Août 2018.

My Life With Family Où les histoires vivent. Découvrez maintenant