CHAPITRE 95

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En rentrant chez moi, chez le crâne qui chauffe. Je prend encore un doliprane et là sérieusement j'ai besoin de dormir. Alors j'vais dans ma chambre, j'enlève mon haut et j'me couche.

. . .

Je me réveille et il est vingt d'heure trente est un. Je regarde mon téléphone et j'ai un appel manquer de Kader. Donc j'le rapelle. Il décroche.

- Moi : ouais ?
- Kader : ouais mon gars sa dit quoi ?
- Moi : j'suis la et toi ?
- Kader : ouais tranquille ont est la. Qu'est c'tu fou la ?
- Moi : j'viens d'me réveiller, j'étais ko.
- Kader : ah ouais. Moi j'suis dans le bat solo.
- Moi : ok j'arrive.
- Kader : vas-y.

Je raccroche.

J'me lève, j'allume la lumière et j'me change. Je met quelques p'tit coup de parfum, j'met ma casquette, veste et j'sort de ma chambre en éteignant la lumière. Je met mes chaussures et je decent.

J'fait quelques pas et j'arrive dans le bâtiment où ont a l'habitude de se poser. J'entre et j'vois Kader fumer un oinj. J'le tchek et me pose à côté de lui.

- Kader : ça vas où quoi ?
- Moi : ouais ça va.

J'lui demande de me passer une feuille et de l'herbe et je prépare mon join.

- Kader : quoi de neuf ?
- Moi : rien hein ont est la.
- Kader : hum ouais.
- Moi : ouais.
- Kader : en se moment t'es plus trop là hein.
- Moi : ouais j'suis... j'suis fatiguer, j'ai la flemme de bouger.
- Kader : ah ouais.
- Moi : hum. J'me suis embrouiller avec Soumya aussi.
- Kader : ah ouais ? Pourquoi ?
- Moi : elle m'prend pour un con celle-là.
- Kader : pourquoi ?
- Moi : parce que j'lui avait dit d'arrêter de parler avec béné là.
- Kader : ouais le p'tit la.
- Moi : ouais et t'haleur c'est pas j'suis avec elle et il l'appel et il lui envoie un message en lui disant ouais « t'es à corbeil là ? » sa veut dire quoi ça ?
- Kader : ah ouais chaud !
- Moi : elle le voit encore enfaite.
- Kader : hum.
- Moi : azy qu'elle parle plus avec moi elle aussi.
- Kader : décidément toi !
- Moi : le coran je câble !
- Kader : t'es tendue mon coco.
- Moi : hum.
- Kader : tu sait quoi ?
- Moi : nah quoi ?
- Kader : j'ai bien envie de t'emmener à la chicha.
- Moi : *rire*. Si tu veut.
- Kader : vas-y viens ont bougent, sa vas te détendre sa au moins. Avec des grosses teilles et grosses chiennes à notre table
- Moi : hahahahah ! Calme !
- Kader : *rire*.

Ont se lève, sort du hall et ont montent dans la voiture. Il démarre et m'ambiance avec du gros sons.

Passons.

Dix minutes après ont arrivent à la chicha. Ont va s'asseoir à une table et ont commande deux chicha avec des canettes.

Y'a pas grand monde, l'ambiance est léger et moi je m'enfumé à la chicha.

Quelques minutes après y'a les cousins de Kader qui débarquent avec des bougs et des meufs. Ils se rejoignent tous à notre table et il commence a avoir l'ambiance là.

Les cousins à Kader ses les plus fou ils font grave golleri donc avec eux c'est sur ma soirée elle va pas manquer d'humour.

En tout cas pour l'instant ma soirée elle se passe très bien, y'a l'ambiance à la table. Sa chicher a mort, sa rigoler, sa danser etc... Moi j'étais poser avec deux meufs de mon quartier que j'connais très bien j'ai fait le collège avec elles. Comme ça fait longtemps ont se raconter un peut nos vie.

Quelques minutes plus tard, j'étais un peut dans ma bulle, je réfléchissais et j'avais le regarde fixer sur le sol. Mon téléphone vibre et j'le sort de la poche. Je regarde qui m'appelle et c'est Soumya. Qu'elle me laisse tranquille celle-là. J'ai même pas envie de lui parler. J'le range dans ma poche et il resonne encore une fois mais je calcule pas off.

SAMIR  // PNL  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant