Les Sakamakis chez le psy

Subaru (la brute au coeur tendre) chez le psy

Psy : Alors à vous jeune homme.

Subaru : (a un dilemme entre s'assoir en tailleur ou normalement)

Psy : Euh, jeune homme, nous allons pouvoir commencer.

Subaru : (continue avec son délire de position confortable)

Psy : Jeune homme ?

Subaru : OUI ÇA VA !!

Psy : Faites comme chez vous,hein.

Subaru : (qui en a assez de cette stupide chaise la balance sur le mur [elle lui a dit de faire comme chez lui] qu'il défonce de ses propres main par la même occasion.)

Psy : Inh-hin... (note ceci sur son cahier)

Subaru : MERDE ! JE FAIS COMMENT, MOI !?

Psy : ...

Subaru : (pose sa main sur le menton, la mine réfléchit avant de claquer des doigts) je sais ce qu'on va faire !

Psy : Quoi donc ?

Subaru : Alors vous allez commencer par vous lever.

Psy : (se lève)

Subaru : Et poser votre cahier et stylo sur la chaise.

Psy :Euh... ok.

Subaru : Excellent. (s'assoit à la place de la psy qui s'assoit euh... par terre)

Psy : ...

Subaru : Parfais ! (Sourire carnassier sur le visage)

Psy : Je peux juste prendre euh...

Subaru : FALLAIT AVOIR VOS AFFAIRES PUTAIN !! ET PAS CASSER VOTRE CHAISE, ABRUTIE QUE VOUS ÊTES !

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Après que l'assistante de la psy - moi, votre humble narratrice - lui ait fournit une chaise et de quoi écrire et donné à Subaru un fauteuil pour qu'il y fasse ce qu'il veut, la psychologue va pouvoir continuer (la pauvre...).

Psy - Maintenant que nous avons de quoi pondre une bonne séance, nous pouvons continuer.

Subaru - C'est quoi votre délire avec le mot pondre ?

Psy - Pondre est un verbe, hein...

Subaru - ET MOI J'EMMERDE LA GRAMMAIRE !

Psy - Il s'agit de conjugaison...

Partie censurée à cause des nerfs de Subaru. Bonne nuit.

Après que la secrétaire ait nettoyé le cabinet, rassuré les autres patients et soigné les blessures de cette pauvre psy (et dire que je ne suis qu'une secrétaire de psy... dur dur, la vie), nous allons continuer ce carnage.

Psy : Cela vous arrive souvent les crises de nerfs.

Subaru : Ouais ! Dès qu'on me fait chier !

Psy : Et qui vous fait... chier ?

Subaru : Mes abrutis de frères et cette... rraaaaaaaaaaah ! Cette imbécile de Yui avec ses mimiques de fille fragile son regard de garce et sa voix de gamine et sa lenteur d'esprit PUTAIN !

Psy : Mais, d'après le manga, vous êtes supposé être amoureux d'elle, nan ?

Subaru : J'ai une tête à tomber amoureux, franchement ? Surtout de la Kimori ?!

Psy : Non...

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Subaru : J'adore les fraises.

Psy : Ah oui ça c'est une évidence.

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Psy : Quel est votre ressentit sur votre rôle dans l'animé ?

Subaru : Ah mais moi j'ai rien demandé ! J'ai même remarqué que contrairement à Ayato, je ne sers à rien dans l'histoire ! Sans déconner ! Je suis tellement inutile que la seule façon que les scénaristes ont trouvé pour me faire remarquer c'est dégommer des murs !

Psy : Aie aie aie...

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Psy : Alors euh, j'en ai parlé à votre mère et d'après moi, il s'agit de votre inconscient qui vous pousse à casser des murs. Il paraît qu'en temps normal vous vous occupez de roses alors je me disais que voilà...

Subaru : Vous sentez cette odeur ?

Psy : (inspire puis expire) nan quoi ?

Subaru : L'odeur de LA PUTAIN D'HUMILIATION !!

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Subaru : Donc tu vois, en plus de me soûler chaque jour au plus au point, il ose pécho Yui dans son sommeil. Et le pire, c'est qu'il le fait devant moi ! Qui fait ça ?

Psy : Mais... vous venez de dire que vous n'étiez pas amoureux de Yui. Alors je ne vois pas pourquoi ça vous gênerait autant qu'Ayato l'embrasse...

Subaru : J'ai dit ça !? Bah tu vois j'étais encore défoncé par l'humiliation que je viens de subir. Je m'en rappelle même pas.

Psy : Donc, vous êtes amoureux d'elle.

Subaru : (se ronge les ongles et pose ses jambes sur l'accoudoir du fauteuil) p'être...

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Psy : Bon et bien... on progresse hein, vous avez encore quelque petit défauts mais on progresse. On se reverra Mardi et Vendredi prochain. Mais ça sera la dernière fois !

Subaru : Si vous voulez madame.