La punition de Bélial

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Ça faisait maintenant trente minutes que Bélial essayait d'ouvrir un portail qui le ramènerait sur Assiah. Bien sûr, en tant que reine du Temps et de l'Espace, je lui refusais toujours la création de ce portail. Je voulais qu'il attende que j'ais fini de massacrer tous ses petits copains qui se pensent tout permis... Je suis présentement dans un immeuble abandonné où se sont réfugier les rebels de Bélial. Je commençai par torturer un démon mâle qui n'arrêtait pas de hurler. C'était très drôle. Le sang qui giclait partout, éclaboussant ses compagnons et mes pantalons. Va falloir que je les décape après... Ça ne sera pas une partie de plaisir. Avant de pouvoir commencer un concert de cris et de plaintes avec le compère de droit du défunt, j'eu un idée extraordinaire. J'ouvris l'espace-temps et fit sortir Bélial. Je l'attachai avec une corde faite à partir de la chaîne de l'horloge de l'infini. C'est l'horloge qui contrôle toutes les autres horloges. C'est mon cœur. Bref, une fois attaché avec les restes de la chaîne, parce qu'il a fallut la changer, je le jetai au mur et lui dit d'une voix qui ferait peur à la Peur:

-Pour te punir, je vais torturer tes petits complices devant toi. 

-Vous ne pouvez pas! Vous êtes un ange!, essaya-t-il de se rassurer.

Une voix le coupa dans son baratin:

-Euh, Bélial... Je ne crois pas que vous devriez la tempter. Regardez ce qu'elle a fait a Abaddon. 

Bélial posa son regard sur ce qui avait déjà été Abaddon. Celui-ci était couvert de coupures plus profondes les unes que les autres. Il avait été ouvert comme un poulet et ses intestins étaient sortis et enroulés autour de son cou, comme des colliers de perles géantes, roses et dégoulinantes de sang. Ses doigts étaient coupés et gisaient un peu partout autour du corps mutilé. Il avait les yeux arrachés et fourrés dans la bouche. Ses tympans sortaient de ses oreilles et le pire de tout, ce qui les fit tous trembler. Sa langue était tranchée et enroulée autour de ses parties génitales qui avait été enfoncé dans son postérieur, déchirant ainsi tout ce qu'il y avait à déchirer. Bélial et les autres rebels fixèrent le corps amorphe de leur compère et se mirent à trembler de tous leurs membres. Je souris et débuta ce qui allait les faire rêver. Rêver de retourner à la Géhenne, dans les coins les plus sombres et de ne jamais revenir. Ce ne fut qu'après trois heures que je commençai à m'ennuyer et les tua tous sans cérémonies. J'avais accomplie ma mission. Massacrer Bélial, qui était devenu un tas de jell-o sanglant, ainsi que ses companions sans trop me tacher...  Je retournai chez moi, le sourire au lèvres, couverte de sang et d'organes. 


Prochain chapitre le 20 août 2018.

La personnification du temps (Méphisto Phélès x OC)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant