[AU Skelebros x reader] L'amour existe dans tous les univers...

°- Dust!Sans x Reader -° (Partie 3)

Suite du ship Bara!Yan!Ku!Sans x Reader

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"Désolé que tu aies dû assister à ça gamine..." dit il, cassant un silence gênant.

"Mon frangin est juste puéril, faut pas lui en vouloir. Et puis, quand on le connaît bien, il est très gentil." Explica-t-il simplement.

C'était tellement bizarre. C'était comme si Sans avait voulu te protéger de son cadet.

"C-c'est rien, ne t'en fais pas..."

Tu frottas ta main droite sur ton autre bras. Tu n'étais clairement pas à l'aise par rapport aux événements qui venaient de se produire.

"Oublions ça..." Lança-t-il finalement, voyant bien à ta tête que tu étais gênée, "...Et allons chez Grillby's."

Quelques étoiles apparurent dans ton regard suivies d'un doux sourire qui éclaircit ton jolie minois. Ton rictus était désormais connu pour faire chavirer son cœur à chaque fois qu'il le voyait.

"Prends ma main et ferme les yeux. Je... Je connais un raccourci." Dit il, son bleuissement maintenant devenu habituel.

Tu t'exécutas, réjouis comme jamais.

C'est alors qu'une étrange énergie te traversa le corps d'un bout à l'autre. Tu sentis chaque parcelle de ton corps perdre leurs chaînes gravitationnelles. [Oui, j'invente des expressions maintenant] Tes cheveux se dispersèrent comme à cause d'une bourrasque ascendante, puis tes pieds se détachèrent du sol.

Heureusement que le blagueur te tenait, sans lui, tu étais persuadée qu'on te retrouverait collée au plafond de la caverne, entre deux énormes stalactites.

La seconde d'après, tout redevint comme avant... ou presque. Tes pieds touchèrent de nouveau le sol, ta (l/c) chevelure retomba. Tu te sentis extrêmement lourde mais un certain mal de tête vint te faire perdre l'équilibre, tes oreilles bourdonnaient fortement.

En rouvrant les yeux, tu ne vis que la vague silhouette de Sans se tenant de plus en plus au dessus de toi, le monde se soulevant avec lui.

Le blanc environnant prit le dessus sur ta vision avant de devenir un noir profondément vide.

Plus aucun de tes sens ne fonctionnaient.

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Sans commençait à paniquer.

Il savait que les humains n'avait pas de magie, que leur corps ne savait pas comment réagir à cette énergie mais de là à faire tomber quelqu'un dans les pommes...

Il s'en voulait. Il s'en voulait à se frapper de t'avoir fait du mal. Son cœur se serrait à l'idée que tout était de sa faute.

Tu étais maintenant dans ses bras. Il te tenait par ton buste et par tes jambes de façon à ce que tu sois blottie le plus possible contre lui.

Il se dirigea vers sa maison assez rapidement. Se téléporter une nouvelle fois risquerait d'aggraver la situation.

Il passa devant des habitations, la librairie et arriva enfin devant son petit chez-lui fait de bois de chênes, agrémenté de décorations de Noël.

À l'aide de sa télékinésie, il ouvrit l'épaisse porte d'entrée et la referma aussitôt.

Sa maisonnette était vide, dû à la ronde que devait impérativement faire Papyrus, le sentinelle de la garde royale (autoproclamé).