Come To My Bed [Boys Love -Terminé ✓]

XIX

Le gland de Ryuu entra en moi

- A-arrête !!! E-elle est trop grosse ça ne rentrera jamais !!! N-argh

Il rentra une bonne partie de son sexe en moi et des larmes perlèrent le long de mon visage déformé par la douleur.
Finalement il se retira et je souffla de soulagement. Et d'un coup sec il se rentra entièrement en moi. Je cria et il me gueula dessus

- Putain ferme la ! De tout façon, tu ne pourras même plus sortir un son de ta bouche à force de gueuler comme un veau.

Et il continua ses va-et-vient infernaux m'arrachant à chaque coups une plainte.
Et la porte de la chambre s'ouvrit un magnifique jeune homme. Ses cheveux roux brillaient malgré la faible luminosité de la chambre. Ses yeux ors paraissaient étinceler. Il ressemblait à un ange...

- Ayato !! Qu'est ce que tu fous là ?! Dégage putain...

Lui cria Enki.
Alors il ressemblait à ça le plus jeune des frères ? Il est vraiment beau. Mais comment sont les parents ??
Le dénommé Ayato me regarda sans aucune expression. Son visage était impassible et nul ne pouvait savoir à quoi il pensait. Puis il parla

- Enki... Tu devrais arrêter de t'en prendre à lui... Disait-il en me désignant du menton.

Là dernière fois, tu as fini avec des bleus partout sur ton corps, un œil au beurre noir et j'en passe. D'accord, je t'ai soigné mais si tu recroise Caleb tu vas finir mort. Je sais soigner les blessures mais je ne sais pas faire revenir les morts. Donc laisse Hugo tranquille.
Ryuu ! Enlève toi de lui.

Ce dernier s'exécuta et fixa le nouveau venu. Il lui montra son majeur et finalement recommença. Se coups de bassins se firent plus violents me faisant crier. Ryuu me susurra a l'oreille

- C'est tellement jouissif de t'entendre crier
H U G O

À mon plus grand désespoir, Ayato ne retenta pas d'arrêter son aîné de me pilonner avec son engin. Non pas parce qu'il en avait peur, au contraire, il aurait pû lui tenir tête. Mais il avait l'air juste ennuyé de continuer de lui parler. Je détailla son visage et constata une barbe de quelques jours entourer son fin menton.

- Je t'aurais prévenu Enki, la prochaine fois tu seras vraiment brisé extérieurement comme intérieurement. Et là, tu te démerderas. Pigé ?

Enki grinça des dents et ne répondit pas.
Puis il lâcha une phrase quand son petit frère franchit le seuil de la porte

Voici la tête du benjamin de la famille d'Enki :