Come To My Bed [Boys Love -Terminé ✓]

XXII

•| À partir de ce chap, le roman va contenir du contenu violent
Il va avoir de la torture, Hugo va souffrir. Je vous le dit.
Et Ryuu est vraiment un taré de psychopathe.
Je vais mettre toutes les techniques de tortures que je connais. Ceux qui aiment ce genre de délire, vous serez servis

Un...
Deux...
Trois...
Quatre...
Cinq...
Six...
Sept...
Huit...
Neuf...

Je ne sais pas depuis combien de temps je me faisais frapper, mais je savais le nombre de coups que j'avais reçu dans mon abdomen et à quel point je souffrais.... J'étais en train d'agoniser. Comme je l'avais prévu, Ryuu me prenait pour un punching-ball et évacuait toute sa rage sur moi.

Dix...
Onze...

Puis, il arrêta. Mes joues étaient mouillés à force de pleurer.
Il me regarda et pris mon menton entre son index et son pouce. Il m'embrassa et me mordit la lèvre inférieure. Du sang coula le long de mon menton. Il lécha la plaie et remordit. Je tressaillis de douleur. Il plongea ses yeux semblables à ceux d'un Shinigami et me dit d'une voix basse

- Tu sais c'est quoi le surnom qu'on me donne ?

Je secoua légèrement la tête.

- Le broyeur de cœur...

Je cru que j'allais gerber mais me retint. Ok... Donc j'allais finir avec un trou béant dans la poitrine. Alors. Je vais vous résumez ma vie alors que vous la connaissez déjà... C'est juste histoire de me faire changer les idées. Je veux pas penser à ce gars au yeux rouges devant moi...

Je m'appelle Hugo, j'ai les cheveux bruns, mi-longs et rasé sur le côté droit. Je suis le genre de mec qui est dans sa bulle avec des bouquins malgré mon look contradictoire. Je porte toujours mon écharpe grise. Souvenir de la défunte dame qui m'a aimé, élevé. Ma mère...
J'ai des piercings noirs sur chaque lobes de mes oreilles. Elles sont plates et de couleur ébene. En gros voici ma gueule quand j'avais des cheveux longs avant que je rase le côté. Je n'ai mas de photo récente. Mais bon, vous voyez à peu près.

J'ai eu la chance de rencontrer Caleb, la malchance d'avoir eu affaire à Enki et à sa famille...

Le colosse me tira les cheveux et me prit dans ses bras musclés. Il devait passer énormément de temps dans les salles de musculation. Il devait même en abuser...
Il me posa sans délicatesse sur une table en métal. Le contact de la surface me fit frissonner. Il prit des cordes et attacha mes mains piègés dans ces gants et mes pieds aux pieds de la table. Il enleva les gants et serra bien tous mes liens. Puis, il ouvrit le tiroir d'un meuble qui était juste à côté de la table en métal. Je cru vraiment que j'allais tourner de l'oeil. Des objets métalliques emplissaient le meuble.
Il mit des gants et sortit un bistouri.

- Je t'en supplie ! Ne fait pas ça !

Il entailla ma peau au niveau de mon torse me faisant gémir de douleur. Un filet de sang coula le long de mon ventre. Il lécha le liquide orangé et j'eu l'impression que ses yeux devinrent plus rouges. Il recommença la même opération sur mon corps, un bras, une jambe, mon cou. À chaque passages de la lame, les plaies me brûlaient. Mais je souffrais en silence ne voulant pas attiser la colère de mon bourreau.
Après m'avoir mutilé un peu partout, il posa le bistouri sur le meuble et sortit plusieurs aiguilles en fer. Il s'approcha de ma main et en un geste, il planta une aiguille sous un de mes ongles. Je cria à m'en couper le souffle. Des larmes brouillèrent ma vue. Il refit la même chose sur tout mes autres ongles me faisait hurler. Pourquoi... J'aurai peut être du réagir à ces lettres menaçantes... Si j'avais suivi ce qu'on m'avait dit de faire... Je n'en serai pas là...
Mais, ce n'est pas la faute de Caleb non...

- Putain, t'es vraiment bandant H U G Ooooo
Et si je faisais une vidéo pour ton cher Caleb ? Il mourra d'envie de me détruire... Ça sera un combat divertissant n'est-ce pas ?

Puis il cliqua sur le bouton rouge d'une caméra qui était à quelques mètres de nous. Et me souria en disant

- Alors HUGooo ? Que souhaites tu dire à ton chéri avant de mourir dépecé comme une bête ?

- N-ne t'en prend pas à lui... Je t'en supplie !
Je t'aim-

Il enfonça de nouveau une aiguille sous l'ongle de mon majeur. J'entendis un cri strident dans la salle, puis je compris qu'il s'agissait du mien.
Il prit un gode et mit dans mon anus. Je cria de nouveau... Depuis combien de temps tout cela à duré ? Je n'en peux plus... C-caleb...
Puis je perdis connaissance, désirant ne plus jamais me réveiller.