Wet Love

Le Cul

Je viens de finir mon « exercice » d'évaluation de niveau. C'était trop facile le prof m'a seulement demander de faire un 500 mètres pour voir mon endurance et ma rapidité. Bien évidement j'ai bouclé le tour en 2 minutes a peine .. mais je ne suis pas le seul à me démarqué des autres. L'autre vert aussi a fini  son tour en 2 minutes. Il m'agace avec son air supérieur se mec, il se prend pour le meilleur et j'ai horreur de ça. Je vais me faire un malin plaisir de le redescendre sur terre il va voir.

Le « cour » est terminé. On a passer plus de temps à jouer dans l'eau comme des enfants qu'autre chose mais en même temps c'était le premier jour. Kidd m'a présenté à deux trois pote à lui qui son super sympa aussi, on a bien discuté c'était cool.  Après être sortie de la piscine on se redirige vers les vestiaires, j'ouvre la porte et tout le monde rentre après moi. Je me poste devant mon casier et commence à me défaire de mon short de bain. C'est un peu gênant de se retrouver à poils devant d'autre mec donc je fais ça vite. Je m'étais accroupie pour mieux retirer mon bas quand par mégarde mon œil dérape et se fait attirer par un postérieur ma foie franchement pas degeu, je dirais même qu'il était vachement rebondit et attirant. Je rougie légèrement avent de me rendre compte que j'étais entrain de mâter cet foutue algue depuis toute à l'heure et détourne rapidement les yeux de cette vision.. je me redresse complètement à poil et tente de trouver mon pantalon dans mon casier qui me paraît soudainement immense et remplis de chose alors qu'il n'y a pourtant que mon sac de cour et mes vêtements de rechange. Je cherche , encore et encore  .. putain mais où je l'ai mit ! Ça commence à devenir gênant ! Je vais remettre mon maillot si ça continue. Au moment où je retrouve enfin se satané pantalon, une mains m'agrippe fermement la fesse droite et me la claque violemment. Je sursaute instantanément laissant échapper un crie pas du tout viril de ma bouche et me retourne pour comprenne d'où ça venait. Rien, personne. Je chercher quelqu'un du regarde mais tout le monde semble occuper à autre chose. Je deviens fou ? Mon visage se décompose à vue d'œil, je suis pas fou ! On vient de me taper le cul je ne suis pas fou merde ! Après cette expérience horrible je sors en courant des vestiaires après m'être habillé dans mon habituel tenue. C'est à dire une veste en cuir noir, suivis d'un t-shirt blanc et un pantalon lui aussi noir, les chaussures assortie bien sûre.

J'ai passer toute la journée à repenser à ce qui c'était passer dans les vestiaires. Je me suis repasser la liste des suspects en boucles dans ma tête mais je n'ai trouver aucune conclusion. De toute façon c'est l'heure de rentrer j'aurais tout le temps d'y réfléchir chez moi. J'entame donc la courte marche qui sépare le lycée de ma demeure. Je marche d'un pas léger mais je me sens oppressé par quelque chose, ou plutôt quelqu'un. Je sens une présence derrière moi depuis que j'ai quitté  le lycée et je commence légèrement à stresser. Je me retourne futilement pour regarder mes arrières mais rien, toujours personne. Je crois que je commence vraiment a avoir des hallucinations. Je me retourne dans le bon sens pour continuer ma route quand tout à coup je me hurt  contre quelqu'un. Je n'ai pas le temps de relever les yeux pour apercevoir cette personne qu'elle me plaque brutalement contre le mur d'une maison, me serrant les poignées dans le dos. Je ne peu pas bouger, son corps écrase complètement le miens contre la parois de béton. Il me fait mal, je sens plus mes mains et sa jambe appuie fortement sur mon derrière comme pour m'immobiliser totalement.  Il ne dit rien, je respire difficilement et bruyamment, mon torse est tellement comprimer que ça en devient compliqué de remplir mes poumons d'air. Malgré ça je peu sentir une odeur familière, ça sens.. le chlore ? L'homme se mouve enfin et viens placer ses lèvres prêt de mon oreille, je sens un large frisons se déclencher  dans toute mon échine quand celui ci commence à parler :

-C'est mal de mater les gens sans leurs accords tu sais blondinet..

Mes yeux s'écarquillent, blondinet ?! C'est comme ça que m'a appeler le Marimo toute à l'heure ! Ça veut dire que .. c'est lui ? C'est lui qui m'écrase contre le mur en se moment même ? Je vais me le faire.

-C'est quoi ton problème, pervers ! Lâche moi ou je t'envoie valsé à l'autre bout de la ville !

Il laisse échapper un rire froid et pervertie de ses fines lèvres avent de défaire son étreinte me laissant de nouveau libre de mouvement. Il m'a fait flipper se connard, et c'est quoi se sourire satisfait sur son visage !?

-On dirais que t'aime ça, blondinet..

-De .. De quoi tu parles abruti ?

Il augmente son sourire avent de pointer son doigt vers mon entre jambe. Je baisse les yeux dans la direction indiquer et m'aperçoit que je suis entrain de bandé, et pas qu'un peu vue qu'il l'a remarqué. Je croise directement les jambes et place mes mains devant m'on attribue qui ne semble pas vouloir se calmer, c'est quoi se bordel!?

-C'est pas se que tu crois !! J-Je..

-T'existe pas blondie, on a tous des fantasme chelou, si toi c'est de te faire violer dans la rue par un inconnue c'est ton problème.

Dit-il en éclatant de rire à la fin de sa phrase lèvent ses épaule en signe d'incompréhension. Je sens que  mon visage devient bouillant, c'est affreusement embarrassant ce qui se passe. Je n'ai qu'une envie et c'est de m'enfuir en courant. Par chance, le vert se retourne et commence à partir en me saluant de là mains.

-Bon aller , à mercredi prochain Sourcils-Vrillé ! Ah et au faite ! Ta un bon petit cul ! *Clin d'oeil*

J'en laisse tomber ma cigarette qui c'était d'ailleurs éteinte depuis un bon moment maintenant. C'est quoi se mec ? Il me tape le cul au calme dans les vestiaires et me plaque contre les murs dehors ? C'est un psychopathe ? Et pourquoi je bande encore !!