Le Scapulaire

Chapitre 1 : Séparation

- Lison ! Ne pleure pas, je pars pour me battre dans l'armée du grand généralissime Cathelineau mais je reviendrais à toi au plus vite. Je pars combattre seulement pour l'amour de toi et pour notre Seigneur Jésus Christ ! Dit-Paul à sa promise. Ma chère et tendre Lison, comment pourais-je continuer de vivre si je ne pars pas me battre, pour avoir la certitude que nos futur enfants puissent grandir sans avoir peur de proclamer notre fois que nous leur transmettrons ? De me battre pour Dieu et pour toi, pour que tu ne meurt pas car une petite croix pend à ton cou.
- Vas mon bien-aimé, mais reviens moi vite ! Mon cœur souffre déjà de cette séparation et il ne pourra survivre si tu succombais aux combats.
Alors en larme, elle se jeta dans les bras de Paul qui la serra avec force et amour en retenant ces larmes qui elle aussi menacé de coulées. Par de grande inspiration, il voulait graver au plus profond de lui-même le parfum de la jeune femme comme pour ne jamais l'oublier et se donner du courage.
Se reprenant alors, il s'écarta de Lison et, il passât doucement son pouce sur sa joue pour essuyer les larmes qui coulées lentement des yeux de sa fiancée.

Alors, elle tira de la poche de son tablier un bout de tissu blanc sur lequel, il y avait un cœur d'un rouge vermeil profond surmonter d'une croix du même rouge. Elle lui tendit et lui dit :
- Pour toi mon amis, j'ai tissé ce scapulaire, donne moi ton paletot, je vais l'y coudre.

Il lui tendit, elle le prit et commença à le coudre juste à l'emplacement de la poitrine tout en continuant à lui parler.
Je les tissé par amour pour toi et pour que toujours tu te souviennes de moi. Avant chaque combat promet moi de le regarder et ainsi de penser à moi.
Elle lui sourit quand elle vit qu'il acquiesçait et elle continua.
- Soit sur mon Paul que d'ici je prierais le Seigneur notre Dieu pour qu'il intercéde en ta faveur pendant ce temps de guerre. Et que toujours mon amour pour toi perdurera quelques soit les épreuves qu'ils nous faudra surmonter. Mon cœur t'appartient ! Dit-elle en le regardant avec amour, puis elle lui reprît.
Tiens, j'ai fini de coudre ton scapulaire.
Elle lui tendit sa veste et il l'enfila, puis il la pris une dernière fois dans ces bas et, il la quitta avec ces mots.
- Ma douce Lison, tu sera ma lumière et toi seule me fera tenir tout au long de cette guerre. Soit sur que des qu'il me sera possible, je reviendrai auprès de toi ma bien-aimée. Adieux, ma belle !
- Adieux, mon aimé ! Lui répondit-elle la gorge nouée par l'émotion et la peur qu'il n'arrive quelque chose à son Paul. Elle le regarda partir en pleurant dans les bras de son amie Marguerite.

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Merci de ne pas trop juger car c'est la première histoire que j'écris !!😬
Mais je vous remercie d'avance pour tout les commentaires constructifs que vous allez poster !!!😉