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  Je crus voir une procession de démons : certains avaient des cornes d'une noirceur éblouissante et un visage ressemblant aux représentations japonaises, d'autres avaient des cicatrices terrifiantes tout le long du corps que je faillis m'évanouir, il y en avait qui avaient une face blanche sans expression avec un corps immatériel fait de ténèbres. À leur tête se trouvait la silencieuse noirceur, elle murmura une chose dans une langue inconnue et les démons partirent dans les immeubles de la ville, je n'osai même pas imaginer la souffrance qu'ils allèrent répandre, prépendre, diffuser.

La marche des ténèbresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant