IV

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  Je vis un jeune garçon aux ailes blanches d'une pureté infinie descendre de la masse nuageuse située dans l'immensité noire tel un rayon de soleil, de beauté, d'espoir. Il vint m'agripper les bras pour m'emporter, me sauver, me libérer. Or un éclair, descendu des plus profonds enfers, s'abattit sur le garçon au visage pâle qui semblait avoir reçu toutes les souffrances, tous les maux, tous les malheurs du monde tant il se tortionnait de douleur. Les mystérieuses ténèbres s'arrêtèrent, affichèrent un sourire narquois, proclamèrent :
 《 -Tu es mienne, ton existence m'appartient.》

La marche des ténèbresOù les histoires vivent. Découvrez maintenant