Découverte d'une nouvelle vie [ERRINK][TERMINÉ]

chapitre 25

PDV de Error:

J'ai cru entendre la voix de Ink. Où, au moins, de sentir une sorte de détresse provenir de mon contraire.

Je suis con aussi! De base, quand quelqu'un se scarifie, tu ne lui cris pas dessus!

Je crois que j'étais juste énervé sur le fait qu'il essayait de me mentir sur quelque chose d'évident.

Error : Je vais devenir fou à rester là... Je sors.

~5 minutes plus tard~

Bon.

Je veux bien que le mot coïncidence existe. Qu'il soit utiliser dans la vie de tout les jours et tout.

Mais là c'est légèrement abusé!

Je vais pas m'en plaindre, bien sûr. Mais passer devant une voiture arrêtée devant un feu rouge, tourner pour une raison random la tête vers la vitre arrière de cette même voiture et voir la personne que vous cherchez ligotée, bayonnée et inconsciente dans cette voiture, il y a de quoi remettre en question l'existence d'un dieu quelconque, voir même l'existence elle-même.

Mais je m'égare.

Discrètement, je passe derrière la voiture et monte sur le petit rebord arrière, vous savez, le truc juste en-dessous du coffre, et m'accroche à la poignée du coffre.

Le feu vert s'allume et nous partons.

Après 10 minutes à rouler -et à dire coucou aux quelques personnes encore présentent dans les rues à cette heure qui me regardait ahuris- la voiture s'arrête et je descend précipitamment pour aller me cacher derrière la maison voisine. La maison de la personne détenant Ink est immense! Ça tient d'ailleurs plus du manoir.

Mais ne perdons pas notre objectif devant une belle maison.

Son propriétaire est un enfoiré.

En me reconcentrant vers l'entrée je vis que l'homme portait -sans aucune gêne et sans essayer de le cacher- Ink, toujours inconscient, dans ses bras.

La porte fut ouverte au moment où un... Domestique ? Sortait avec un sac poubelle dans les bras. Il s'excusa au près de son "maître" et marcha vers le local qui se trouvait juste derrière moi.

Je pris ça à mon avantage.

Alors qu'il avait déposé le sac, je l'assomais violemment.

Error: Pardon, désolé...

Dis-je en retirant ses vêtements. Je lui laissait ses sous-vêtements bien-sûr.

Après m'être totalement habillé en majordome, je rentrais dans la maison.

Oui, je sais, je n'ai pas la même tête que l'homme qui "dort" à côté des poubelles. Seulement, je me dis que si je vais assez vite, personne ou presque ne me remarquera. Je cours (presque car je pense que je vais paraître suspect si je me précipite partout dans la maison) dans pas mal de pièces du rez-de-chaussée pour atterrir dans la cuisine.

J'hésite un moment avant de prendre une poêle et de continuer à courir, vers l'étage cette fois.

Oui, j'aurais pu prendre un couteau. Mais je ne compte pas vraiment le tuer. De plus, si quelqu'un me voit et sait que je ne fais pas parti du personnel, je préfèrerais assommer cette personne plutôt que de tuer un innocent.
Contradictoire quand on connaît monde job, hein?

Je fouille les chambres non-fermées une à une, laissant quelques corps dans les pommes ça et là, et arrive devant une porte close.

Je prend une inspiration et ouvre doucement la porte.