Chapitre III

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- Bloque-le alors.

Je soupirais un peu trouvant l'idée intelligente mais, même si je le ferais, cette personne trouverait un moyen de me renvoyer ce message à nouveau. Comment je le sais? Je l'ai déjà expérimenté. Résulta? Je n'en parle même pas. Même heure, même minutes, même seconde et même numéro.

- Mais comme tu ne me réponds pas. . .Fait une plainte.
- Une plainte?
- Bah oui? Préviens la police ou bien demande à la compagnie de téléphone avec qui tu fais affaire, de bloque définitivement ce numéro de cette fille.
- Cette fille? Sérieusement mec. . .
- Bah quoi? Ce serait cool que ce soit une fille trop canon qui les plus belles formes généreuses aux bonnes places qui n'a qu'une envie, te faire une pipe derrière un buisson dans la noirceur.
- Dit plutôt que c'est toi qui rêves de ça, dis-je le sourire aux lèvres amuser de l'imagination de ce crétin. Mais imagine, exemple, que ce soir une grosse rondelette saoul de plus de six-cents ans qui arrive pour te baisser ton pantalon.

Il m'envoie presque sa fritte au visage tellement il est dégouté. Je viens de lui briser son rêve à jamais.

- De toute façon, même si une fille canon comme tu dis te ferais ça, tu t'évanouirais instantanément.
- La ferme!

Je souris comme un béta regardant Clown rougir comme une jolie petite tomate.
Je le vois souvent réagir comme ça avec les filles. Il commence a parlé avec assurance et détermination à celle et tranquillement, quand il parle, il bigaille et arrive à cet état gênant. Une pomme d'amour.
On se connait en fait depuis la deuxième année du primaire (CE1). Je sais tout de lui. Même que ses parents sont séparés brutalement d'un coup et que sa mère si gentille et généreuse fière de son fils est morte. Peu de personne le sais. Encore moins l'effet que ça lui a fait au plus profond de lui. Aujourd'hui, on lui parle de fête de mère, il devient blanc et commence à avoir les yeux humides. Il invente toujours une histoire quand on lui demande ce qui est arrivé à sa mère. Même a moi, il ne me le pas dit.
Jamais.
Je peux très bien comprendre aussi. Moi, mon père biologique n'est que salop. Il a abandonné la mienne quand il a su qu'elle entendait un gosse. Moi. Je le maudis d'exister.





Je marche dans le quartier de riche. Mon quartier en vrai. Dans cette rue, je me sens comme une extraterrestre. Écœurant. Tous ses jeunes sont des bébés gâtés jusqu'à l'os. Ils n'ont jamais tort, ne sont pas les responsables des gaffes, n'ont aucune politesse et on ne leur dit jamais non.
Mais le tuc le plus gerbant, c'est de voir Katel ici. Dans ce genre de palace qu'on se perd et qui semble vide. Elle ma toujours dit qu'elle rêvait de vivre en la campagne ou près de la mer pour vivre en nature. Loin de cette population de building.
Je rentre sans un mot perdu dans mes pensés a nouveau. Je sors mon téléphone de mes poches me dirigeant vers la cuisine pour me prendre un verre d'eau.
Personne à mon simple jugement. Pas un bruit. Pas une trace de vie. Au moment où je retourne vers l'entrer, je vois des lumières d'une voiture se stationner. Je monte à l'étage l'air de rien lorsque la porte s'ouvre, des rires rentrent dans ce silence pourtant appréciable. Ma mère n'est pas avec Arthurs mais avec un homme. Un bel homme. Pas le type trop bien coiffé avec son costume trois pièces repasser au moins dix-neuf-milles fois! Des beaux yeux bleus perçants presque métallique, une barbe pas trop longue ni trop courte et des cheveux chantais mi court facile à attacher. Il croise mon regard et je me pétrifie totalement. Je sens mes jambes flageoler.
Merde, qu'est-ce que m'arrive bon sang?

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⏰ Dernière mise à jour : Sep 14, 2018 ⏰

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