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Mon nom est Natalya Kovalevski, j'ai 24 ans, et même si je suis désormais une adulte, j'ai tout de même décidé de continuer mes études, loin de mon pays natale, à l'autre bout du monde.
J'étudies les lettres, l'art et la musique dans une grande université assez réputé.
Sans aucun doute que vous ne ferez nullement attention à une jeune demoiselle telle que moi.
Banale... voir invisible.
Celle que personne ne remarque, qui traverse l'année scolaire comme une ombre et qui se cache derrière des lunettes tout en se mêlant à la foule qui l'entoure.
J'étais ce genre de personne.
Je le suis.
Banale et Solitaire, un brin sensible.
J'avais comme crée une barrière invisible entre et le monde extérieur et moi.
Je ne souhaitais nullement me faire des amies ni être l'amie de quelqu'un, c'était trop douloureux à supporter.
Dans l'université où j'étudiais, on pourrait me nommer sous différentes façon comme une personne intellectuelle, solitaire et une excellente pianiste avec des cordes vocales sensibles.
En même temps avec mes lunettes à monture carré, mes notes surélevées et mon style vestimentaire neutre qui ne se composait que d'un pull, d'un pantalon en lin, des converse ainsi qu'une casquette.
Faut l'avouer, je n'étais pas le genre de fille à paraître attirante ou à attirer l'attention en même temps je ne cherchais nullement à l'être mais plutôt à faire l'effet inverse.
En dehors de cela, en me prend pour une cible, je suis comment dire...
La bouc émissaire d'un groupe de filles qui n'ont rien d'autre à faire que me prendre pour victime pour je ne sais quel raison farfelu.
Oui, je suis victime d'intimidation et d'harcèlement mais tous le monde s'en fout car apparemment c'est tout à fait normal dans les universités américaine de recevoir un saut rempli d'eau froide en supplément de glaçon les jours de pluie sur la tronche en plein hiver.
De quoi vous donner le rhume et l'angine toute votre vie.
Quand se genre d'événement m'arrive, je préfère me taire et passer mon chemin, puis pleurer en silence une fois seule chez moi.
J'étais déjà l'ombre de moi même, alors je ne sais même plus comment réagir, comment agir et que faire dans ce genre de situation.
J'étais surtout à l'intérieur de moi vide d'émotion.
Ces pestes populaire et méchante mais que tous le monde vénéraient étant donné que leurs parents possédaient des hauts postes aux gouvernement mais il y avait aussi ce Boys Band, un trio qui se font juste remarquer parce-que leur parents sont autant riche que crésus.
D'après ce que j'ai entendu, ils sont à eux trois très beau avec chacune une personnalité et un style qui lui est propre.
Eh puis, si j'avais au moins fait attention de ne pas avoir trop la tête dans les nuages, j'aurais peut-être pu évité cet accrochage, parce-que je ne savais même pas qu'une simple discutions pouvait se mener à bien plus.
Mais malheureusement dans mon monde, il n'y a pas de place aux sentiments.
Je ne suis pas faite pour sa, c'est trop douloureux dont subir les répercutions mais surtout dont être la cause.
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