S'il te plaît, ramène moi, ramène moi, ramène moi à la maison
—Duncan Laurence
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Assis sur un siège dans le bus qui la ramenait à son dortoir, elle regardait par la fenêtre mouillé dû à la pluie ses pensés ailleurs, c'était la première fois qu'elle rencontrait le frère de Théo et elle n'en demeurait pas moins soucieuse, elle savait que ce genre de personne était dangereux plus dangereux que se qu'il n'en laissait paraître.
Les tatouages très voyant sur ces avant-bras, n'étais sûrement pas pour se la jouer rockstar.
Elle préférait ne plus y penser et oublia l'intercalation sans remord.
Descendant du bus, elle marchait jusqu'au dortoir sans prendre en compte qu'elle était mouillé de la tête au pied dû à la pluie qui tombait abondamment, à peine a t-elle fait un pas à l'intérieur de sa chambre que son humeur changea de la tristesse à la colère.
Fermant la porte derrière elle, ces pieds la ramenait machinalement vers ce miroir qui n'arrêtait pas de la narguer avec écrit dessus au marqueur rouge :
«Comment ai-je pu rater que tu étais une pute :-p»
Et juste à côté une photo à moitié brûlé y était collé à l'aide d'un petit bout de scotch, pas n'importe laquelle, c'était celle où elle et son grand frère était extrêmement proche, elle assis sur ces genoux entrain de lui faire un câlin et lui qui avait son bras autour de sa taille et qui souriait.
C'était un de ces moments qu'elle avait perdu en venant ici, en Amérique.
Ces pensés se bousculèrent dans un tourbillon que sa vision à vu trouble un instant mais elle se reprenait en s'appuyant sur la commode, elle savait qui avait fait cela mais elle ne voulais pas y penser.
Seule sa colère contrôlait à l'instant son esprit torturé.
Ces larmes coulèrent doucement sur ces joues rougis, ces jambes lâchèrent sous le choque et elle tomba à genoux aux sol, les mains tremblante en tenant cette photo qu'elle venait d'arracher d'un geste rageur, parce-que c'étais quand même la première fois que ces harceleurs de populaires lui faisait ce genre de coup qui prouvait encore que la méchanceté humaine n'en finissait pas.
