séance

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Ta main sur le long de ma cuisse, attachée, les yeux bandés, tu monte ta main je n'arrive pas à savoir tes gestes en avance. Tu monte ta main, je veux plus, je bouge mon bassin pour te motiver à toucher mon intimité. Mais tu n'est pas dupe, tu le sais et ça te fait sourire de me torturer de cette manière, de sorte que tu ne fait même pas l'effort de l'effleurer et tu m'abandonne quelques secondes avec ma frustration.

Je t'entend revenir, et je sens tes mains me placer un bâillon, tu te place ensuite en face de moi et sans m'y attendre tu prend mes jambes et tu me pénètre d'un coup sec et fort. Tu entame alors de grand coup de rein toujours aussi fort et sec que les précédent. Je sais a présent pourquoi tu ma mis ce bâillon.

A chaque coup tu essaye d'aller de plus en plus loin, me déchirant par la même occasion mon entre, je ne peut m'empêcher malgré le bâillon de crier de douleur, mais ce n'est pas ça qui t'arrête au contraire, tu aime et ça t'excite, tu force donc tout en détache mon bâillon te laissant entendre mes crie. tu décide d'enlever également le foulard sur mes yeux, me laissant voir tes yeux brillant par le désir de me faire mal et de me voir souffrir, tu vois toi, mes yeux en larme. ta main ce pose donc sur mon cou et tu appuie dessus, augmentant mon plaisir au passage, tu vois le sang couler légèrement le long de ta queue et tu contemple ça telle une victoire. Tu vois que je suis pas loin de perdre connaissance et tu arrêté de faire pression sur ma nuque, tu me détache. Tu me retourne et tu me pénètre derrière d'un coup sec en allant toujours au bout, déchirant ainsi mon anus de l'intérieure, tu entame aussi des va et vient fort et rapide me fessais hurler à chaque coup. Quelques longues minutes tu sens ta jouissances venir, tu décidé donc de t'arrête, de me tirer les cheveux afin de me mettre à genoux devant toi, tu rentre ta queu dans ma bouche et quelques aller retour tu vide ta semences le long de ma gorge, m'obligent à avaler, se que je fait donc avec plaisir.

Tu me prend dans tes bras, on s'allonge dans votre lit, avec ces heures torride et dure tu décide de me caressé doucement le dos me disant que je suis une bonne esclave et que tu es fier de moi, je sourie les larmes au yeux de t'avoir satisfait et de pouvoir entendre ces mots, qui me vont droit au coeur.

Rose SangOù les histoires vivent. Découvrez maintenant