Les événements commencent.

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Le jour suivant, nous fûmes le samedi, comme à mes habitudes, je me leva assez tard mais quelque minutes avant mon réveil, je me fit réveillée par un puissant bruit sourd venant du salon, quelques secondes après celui ci, j'entendis ma mère pousser un hurlement, je me presipita rapidement hors de mon lit pour voir ce qu'il ce passait en bas, puit ma mère hurla.

- la chaise est tombée toute seule !!

Je fut choquée mais une question me trottait en tête, pourquoi ces événements on commencer lorsque la poupée est arrivée ? Je le sais que cette poupée possède quelque chose de très étrange, serait-elle hantée, mais tante Irma ne pratique rien de ce genre. Mais pourquoi nous l'avait elle envoyée.

Toutes c'est questions, si banale m'intriguait, nous décidâmes alors de sortir pour nous changer les idées. Nous nous dirigeâmes alors vers le centre ville où nous croisâmes Rachel et sa mère Suzanne.

Moi et Rachel se dirigeâmes vers un simple café tendit que ma mère mit Suzanne au courant de ce qui s'est passer chez nous.
Suzanne fut surprise mais elle ne pouvais rien faire pour nous.
Ma mère me pris par le bras et se dirigea vers la maison en me forçant a venir avec elle.

Une fois arrivée, la porte d'entrée était entrouverte, la peur ce lisais sur le visage de ma mère, sur le mien également. Je l'aventure en première dans la maison, il faisait très sombre alors que les rideaux des fenêtres était ouverts et la lumière n'y changeais pas grand chose, lorsque je fut entrée,  la porte se referma aussitôt provoquant un courant d'air. Les cris glaçants de ma mère essayant d'ouvrir la porte me faisait froid dans le dos mais je ne sais pas pourquoi, je n'y prêtais  aucune attention. Lorsque les yeux commencèrent a s'habituer a l'obscurité, je me rendit donc compte que la poupée avant changer de place, elle ne se trouvais plus sur l'étagère ou ma mère l'avais posée. Ma mère criais mon prénom de plus en plus fort, comme si elle croyais qu'en faisant sa, la porte allais s'ouvrir.

J'étais tellement angoissée que mes jambes cédèrent sous le stress, je m'étais évanouie.
A mon réveil, plus aucun bruit. Je n'entendais plus les hurlements de ma mère, comme si elle avait disparue, je ne pouvais l'assuré car il faisait nuit, je ne voyais rein. Étrangement, les lampadaires de la rue était tous éteinds, comme si il n'y avait plus d'électricité. Tous ce silence n'était absolument pas normal. Les maisons voisines étaient éteintes, j'avais l'impression d'habiter dans une ville fantôme.
Mais reprenant mes esprits je me mit a pensée a une seule choses, ma mère, où était elle.

Me dirigeant vers la porte pour l'ouvrir, je  sentie quelque chose me pousser en avant ce qui me fit tomber, ma tête heurta la balustrade de l'escalier. Sonnée, je me releva avec déséquilibre puis sursauta a la vue de cette poupée, devant moi, assise, comme si elle avait toujours été là.
Je compris alors que c'est elle qui provoquait tous sa. Il fallait donc que je sorte de la maison, mais comment pouvais-je faire, la porte est fermée. Ce que je vis ensuite me provoqua un énorme sursautement suivit d'un long frisson glacé....

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⏰ Dernière mise à jour : Apr 16, 2019 ⏰

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