cinq.

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«Why they can be happy when I suffer»

«Why they can be happy when I suffer»

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*soupir*

Tout ce que je souhaite c'est de redevenir Izac.

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24 décembre 2018.

J'ouvre mon armoire pour prendre un t-shirt et tombe sur l'uniforme de ma brigade.

J'ai bloqué.

1 an que je l'ai pas mis.

Putain, ça me manque d'arrêter des Boubacar's, des Karim's et des Julien's, apprentis dealer,dans les rues.

Je sort l'uniforme avec son cintre et le montre aux gars qui étaient affalés sur le lit comme deq gros ours.

Les filles étaient assises parterre et d'ailleurs je ne sais toujours pas pourquoi.

Yanis - Putain gros ça date on t'a pas vu avec ça.

Djibril - Avec ta dépression de merde, tu me vener Izac.

- *rire* Ça me manque putain

Layla - En plus t'étais le seul qui le portais bien en scred.

Qassem - Bah putain !

Je souris et remet l'uniforme dans l'armoire.

Je soupir discrètement en voyant la date sur ma montre.

Demain, nous serons le 25 décembre.

1 an déjà.

Mon état ?

J'ai amélioré..

J'ai pu arrêter avec mes médicaments, je me suis calmé, tout ce dont j'avais besoin c'était de me défouler, de taper sur quelque chose alors grâce à Djibril, je me suis défoulé à la salle de sport. J'avais trop de rage en moi.

Côté deuil..

Dire que c'est complètement passé est un mensonge mais.. on peut dire qu'avec le temps j'y arrive tout doucement.

J'ai aussi pris la décision d'enlever toute trace de Mendy, à la maison.

Je ne veux pas l'oublier mais je veux passer à autre chose.

«On commence par la fin ?»Où les histoires vivent. Découvrez maintenant