CHAPITRE 3

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LA DÉSILLUSION D'UNE FEMME MARIÉE

AUTEUR : BORIS BANKOLE

CHAPITRE 3

Une fois finir de manger, MAHOUGNON m'a remercié et il a pris la direction de leur maison. Je me suis retourné au salon pour écouteur le journal à la radio.

Le jour suivant, déjà à quinze heures, je me suis rendu sous la douche où j'ai pris un bon bain.
Après ceci, je me suis retourné dans ma chambre pour m'habiller. Je me suis habillé en local. J'ai mis du pagne en bomba avec foulard et j'ai porté une paire de chaussures sandale.
La montre murale qui  était au salon a affiché dix-sept heures deux minutes quand soudain j'entendis le klaxon de la moto de MAHOUGNON.

Mon papa n'était pas à la maison alors je lui ai dit de ne pas se gêner pour descendre de sa moto d'autant plus que je suis la seule à la maison.
J'ai monté sur sa moto sans plus tarder.
Nous avions pris la direction de leur domicile.

Au bout d'une demi-heure, nous sommes arrivé à destination.
Une fois descendu, je me mis à genoux pour saluer la mère de MAHOUGNON.

- Bonsoir maman.

- Comment tu vas ma chérie MIRA ?

Lève-toi ma princesse, tien ce gobelet d'eau portable.

J'ai pris ce gobelet et j'ai pris une gorgée.

Elle continue en disant ;

- Ma Chérie MIRA, MAHOUGNON m'a parlé de toi de long à large. Franchement parlant, je suis désolé pour la mort de ta mère.

Je sais bien ce que vaut l'amour maternel pour un enfant. Entant qu'une chrétienne fervente, la Bible nous prédit ceci,

<< Aimez vous les uns les autres, soyez généreux avec vos alentours. >>

Pour ce fait et vu aussi ta situation, je souhaite porter ta croix avec toi, alors permet moi de faire de mon possible pour te tenir les mains jusqu'à la fin de tes études. N'hésite surtout pas à me demander tout ce que tu voudras. Tiens ce portable Nokia 105 tu peux m'appeler à tout moment dès que tu auras besoin de quoi que ce soit. J'ai beau voulu même te donner un portable Android, mais après votre BAC, car bon nombre d'entre vous nos enfants êtes accro des réseaux sociaux qui vous recule dans les études. Excusez-moi beaucoup mes amours, je vous invite à un travail bien fait de jour comme de nuit.

- Merci, mile fois merci maman pour votre générosité et amour envers moi. Je suis très heureuse de votre décision à m'aider et je vous rassure ne jamais vous décevoir. La seule chose que je voudrais vous demander est de ne jamais cesser de nous accompagner par vos multiples prières aux quotidiens. J'ai la fois que tout ira bien.

Je me suis fondu en larmes.

Ne pouvant pas me voir dans cet état, la mère de MAHOUGNON s'était approché de moi pour me consoler en me gardant dans ses bras. Elle m'a encore rassuré qu'elle fera tout pour mon épanouissement.

Après nos conversations, l'unique jeune sœur de PRINCE est venu nous servit à mangé. Elle c'est JULIA.

Nous avions mangé à quatre. C'était un grand plaisir pour moi de me sentir aimée par une mère de famille. En plus, elle m'a serrée dans ces bras. Je n'ai jamais cru que je peux trouver une femme capable de me procurer de son amour maternel comme viens de me le faire la mère de PRINCE BEHANZIN.

Une fois finir de manger, j'ai regardé droit dans les yeux PRINCE, je lui ai  dit où est son père et que je désire le connaître. C'est delà qu'il me fit comprendre que son père travail dans la compagnie aérienne française entant que pilote, météorologue et qu'il vient deux fois par an au Bénin.

Il sonnait exactement dix-neuf heures quand nous avions pris la route de ma maison avec PRINCE MAHOUGNON.

Une fois chez moi, j'ai fait un bisou à la joue à PRINCE et je me suis rendu dans l'enceinte de notre maison.

Arrivé au salon, j'ai vu papa qui est déjà fâché.

- Bonsoir papa chéri comment tu vas pour moi, et pourquoi as-tu miné comme ça ?

- Ha, bon, je ne vais pas miner ! , m'a, tu dis où tu allais ?
Tu sais que tu es mon seul espoir alors il ne faut pas me donner l'hypertension, car je me suis trop inquiété pour toi.

- Ayiiiiii, autant pour moi papa chérie ne te fâche pas. J'étais chez les parents de PRINCE s'était hier sa mère à demander que je vienne la voir, car son garçon lui a parlé de ma situation et qu'elle souhaite  m'aider. Voici le portable qu'elle m'a donné.

Je me suis jeté dans les bras de mon père et lui ai calmé. Ceci a apaisé sa colère.

- Ha, je vois, je t'ai compris ma chérie désormais faut m'avertir pour tes sorties, grand merci à maman PRINCE pour sa générosité. Que Dieu bénisse sa famille.

Après ma conversation avec papa, je suis rentré dans ma chambre, je me suis déshabillé et je me suis allongé au lit pour m'endormir.

Une semaine plus tard, c'était la veille de pâques. Je ne sais même pas comment PRINCE s'est arrangé pour connaître ma pointure. J'étais à la maison dans l'après-midi quand il était venu avec un sachet noir en main.
Il me remet ceci.

Après l'avoir ouvrit, je constatai qu'il y avait une jolie robe rose et une paire de chaussures à talons couleur, or à l'intérieur de ce dernier.
J'étais hyper contente en voyant ceci. Je lui ai remercié et il a décidé à ce qu'on aille se distrait un peu à la plage.

J'ai mis une culotte en Jean bleu, un t-shirt blanche avec de chaussures basket noir comme il l'a fait aussi et nous nous somme rendue à la plage.

Une fois à la plage, je lui ai initié à nager. C'est ce jour-là que j'ai sûr à quel point MAHOUGNON se méfie de la mer. Ça n'a pas été facile au début, mais j'ai sur l'encourager, si bien qu'il a puis s'adapter après quelques essais.

Au bout d'une trentaine de minutes, nous avions fini avec l'apprentissage.

J'ai fini à peine de me rincer le corps, quand MAHOUGNON s'est approché de moi et il a dit ;

- MIRA, dit moi exactement ce que je peux pour toi afin de gagner complètement ton cœur et t'avoir comme ma future épouse, car je t'aime du profond de mon cœur !

- PRINCE, laisse moi d'ici peu, je vais me décider de quoi faire.
S'il te plaît femme tes yeux, j'ai une surprise pour toi.

Il a exécuté comme lui ai dit.
Je lui ai embrassé bouche à bouche.

Quelques minutes plus tard, je lui ai avoué que je l'aime aussi, mais j'ai peur d'être blessé. Il était très content de cette nouvelle et m'a promis ne jamais me trahit.

Sur ces mots, nous avions quitté la plage. Il m'a déposé à la maison et il est rentré.

Une fois à la maison, il m'a écrit pour me notifier qu'il était bien rentré.

Le lendemain, c'est le jour de la fête de pâque. On a été ensemble à l'église mon papa et moi.

Une fois  la messe terminée, nous nous sommes rendu à la maison à bord de la voiture Peugeot 504 de mon papa.
Arrivé à la maison, je me suis changé et j'ai été à la cuisine pour préparer ce que nous allons manger papa et moi sa princesse chérie.

Une fois finir de manger je m'étais rapproché de papa et lui ai faire comprendre que je dois me rendre chez  maman PRINCE, il m'a donné le feu vert.

Je me suis bien habillé, j'ai porté la robe que mon chéri PRINCE m'a payé. Je lui ai appelé pour qu'ensemble, on aille chez lui fêter.

La fête a été géniale chez eux. Car une fois chez PRINCE tout était prêt. J'ai salué sa mère avec politesse comme d'habitude.
Nous avions mangé ensemble sur la même table à manger. J'ai ramassé les plats à la fin du manger que j'ai lavé avec sa jeune sœur JULIA.

C'est après ceci, j'ai décidé de rentrer, car je ne pouvais pas laisser papa seul à la maison.

À suivre......

LES CHRONIQUES DE BORIS : PAUSE DÉTENTE.

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