CHAPITRE 7

48 1 0
                                    

LA DÉSILLUSION D'UNE FEMME MARIÉE

AUTEUR : BORIS BANKOLE

CHAPITRE : 7

Arrivé à la plage, je vois mon amour qui est venu me croiser et nous sommes assise par terre pour discuter un peu de tout et surtout des filière que nous feront après.
Je lui ai dire que je ferai l'économie et finance lui, il m'a faire comprendre qu'il sera pilote d'avion.
Après notre conversation nous avions mis quelques choses sous les dents avant que chacun ne prend ses horizons.

Les jours passaient comme un éclair.
Deux mois et demi plus tard les parents de Prince m'ont appeler et on avertir aussi mon père concernant mon voyage pour la continuité de mes études universitaires à l'université Paris Dauphine en compagnie de mon fiancé MAHOUGNON qui fera son étude de pilote à l'école internationale d'aviation de Paris.
J'étais hyper contente de cette nouvelle de même que mon père malgré qu'il était inséparable de moi.
Mais dans cette circonstance il n'a pas le choix d'autant plus que c'est pour notre bien commun si je réussis mes études et je gagne ma vie.

Tout s'était bien passé sans problème majeur si bien qu'une semaine après cette nouvelle nos passeports et visa sont déjà près.
Nous avons quitté l'aéroport BERNADIN GANTIN de Cotonou au environ de 6 H, c'était un samedi.

Nous étions en vol direct pour Paris.
C'était très agréable, une simple fille de forgeron que j'étais prend le vol pour la première moi dans ma vie.
Au bout de quelques heures, notre oiseau volant a atterri.
Nous avons pris la direction de notre cabinet déjà préparé par le père de MAHOUGNON.
Le lundi qui a suivit tout et chacun de nous avions commencer les cours dans une bonne ambiance.

Les jours, les semaines ainsi que les mois de joies et d'entente ont passé.
Notre amour MAHOUGNON et moi avait pris plus d'ampleur.
On s'est encore plus aimé car durant les cinq années de nos masters au sein de nos différents domaines d'études.
Nous deux étions majeurs de notre promotion.
MAHOUGNON a fini deux ans avant moi, car c'était un cycle de doctorat moi, j'avais opté pour et lui juste le Master en Pilot.
Il a ainsi obtenu son Master avec mention excellente.

Deux années plus tard, j'ai eu aussi mon doctorat avec une mention très très honorable.
Nous avons commencé par travailler.
Il est commandant d'air dans l'armée aérienne Béninoise.
Moi, j'ai été directrice générale de la BOA (BANQUE OUEST AFRICAINE) au Bénin.

Après cinq ans de service nous avions fait notre premier geste.
J'ai mis au monde un joli garçon, on dirait la duplication de mon époux.
Ce petit garçon a été nommé Israël Rocher BEHANZIN.
Sa naissance était naturelle sans aucun problème pour moi et son arrivée à apporter plus de progrès dans nos travails son père et moi.

Trois ans plus tard nous nous sommes marié mon chéri MAHOUGNON et moi.
C'était un joue inoubliable de ma vie, car j'ai reçu tout honneur ce jour.

Nous avons d'abord faire le mariage traditionnel à Ouidah chez moi comme d'accoutumer chez nous en Afrique.
Le jour qui a suivi nous nous sommes rendu devant le maire ADJOVI SÉVERIN du Ouidah pour le mariage civil et nous avions pris la direction du basilique pour le mariage religieux.

Deux ans après notre mariage, j'ai fait mon second geste en donnant naissance à une jeune fille Marie Véronique BEHANZIN.
Une princesse qui est ma photocopie sans tâche de la tête jusqu'aux
pieds.
J'étais heureuse et comblée.
C'était une famille formidable et chaque matin, mon époux, les enfants et moi louons le Seigneur dans sa grandeur immense et incommensurable pour cette grande grâce et pour cette bénédiction et le prions de nous unir davantage afin que nous grandissions encore plus dans cette union sacrée.

Mais un jour, le diable a mis un obstacle sur mon chemin. Jésus a dit: << l'esprit est résistant mais la chair est faible >>.

La scène à commencer lors d'une réunion avec mes collègues de travail venant de la Banque Mondiale.
Nous étions à New-York, c'était dans l'après-midi d'un vendredi.

L'histoire qui a fait chuter ma vie commença dans l'après-midi d'un vendredi où j'avais rencontré un richissime homme d'affaire tout juste à la sortie de la salle de conférence au sein de l'hôtel où nous avions faire notre réunion , dans les ascenseurs d'un hôtel cinq étoiles Mr Johnson Samsung.

Ce monsieur charmant élégant faisait à peu près 1m80.
Son parfum transmettait à chaque seconde des vibrations qui pouvaient attirer toute belle femme se mettant à côté de lui. J'étais séduite par la bonne senteur de son eau de parfum et de façon involontaire, je commençais à le regarder.
Tout de suite, il m'aborda avec un beau sourire et je ne pouvais plus me contrôler.
J'avais envie que l'ascenseur face vite pour que je puisse descendre mais j'avais l'impression que c'était devenu encore plus long.
Je descendais du 5eme étage.

Ce charmant monsieur commença à me complimenter et me proposa de passer la soirée dans l'hôtel où il a été logé pour qu'ont discute davantage.
Je lui avais dit toute de suite non et lui ai tendu mon doigt où était bien posée ma bague d'alliance.

Désolée, je suis mariée monsieur et je suis mère de deux enfants et mon cœur n'est plus libre.
Il insista, essaya de me convaincre mais ma position de départ était bien maintenue jusqu'au moment où il me tend une enveloppe remplie de billets de banque. Il me disait ceci:

"Princesse, cette petite somme d'argent est pour que tu te fasses belle ce soir je veux juste dîner avec toi et essayer de mieux te connaître car tu es une femme de grande valeur avec laquelle j'ai juste envie d'échanger.''

Sur ces mot j'ai pris congé de ce monsieur mais avant de quitter le lieu il m'a remis sa carte de visite.
Une fois rentré je me posais deux question.
'' N'es ce pas le diable qui me piège comme ça ?
Es-ce pas de l'adultère que je veux commettre comme ça ?

À suivre
LES CHRONIQUES DE BORIS : LA PAUSE ET DÉTENTE

LA DÉSILLUSION D'UNE FEMME MARIÉE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant