L'envole du phœnix (Remake)

Chapitre 10

Août 1972

Le soleil tape dans la cour du manoir Black. Un jeune garçon est assis au milieu de celle-ci jouant avec des baves boules. Sa mine est triste et l'on peut apercevoir des sillons d'eau qu'on laisser des larmes ravageuses. Des cris retentissent depuis une pièce de l'étage. Des supplices douloureux à écouter si bien qu'on aimerait ce boucher les oreilles. Quand est-ce que ce vacarme finira et que la cruauté s'éteindra ? C'est ce qu'aurait dû ce demander le petit Regulus. Malheureusement celui-ci était bien trop occupé à ne pas écouté.

Plus tôt dans la journée, lorsque l'heure était venue de faire ses leçons. Le petit garçon avait fuit le manoir pour ce cacher parmi les domestiques. Bien sûr, les elfes de maison si bien traités par la maîtresse des lieux avaient dénoncé l'enfant, sans aucun scrupule, pour éviter tout problème. C'est à ce moment là qu'arrive le héros me diriez-vous n'est-ce pas ? Ce n'est pas tout à fait juste. Ni tout à fait faux. Le héros arriva sans vraiment arriver. Il n'était pas présent lors de la trouvaille de Regulus par cette horrible démon. Cependant, il savait que quelque chose ce tramait et il ne fut pas déçu. Alors que Walburga traînait son Benjamin à travers les cuisines. Sirius entendu celui-ci supplier leur mère de ne pas le punir. Un mauvais rire lui sortait de la bouche, repensant à ses nombreuses tentatives échouées. Puis soudain. Un râle sombre et coléreux retentit dans le salon. Le sang de Sirius ne fit qu'un tour. Lui qui c'était promis de rester dans sa chambre pour réviser. ou du moins pour éviter tout problèmes. Il ne pouvait pas laisser son petit frère dans le désespoir. Il ce leva d'un bon et dévala les escaliers quatre à quatre. Arrivé dans le hall il ce précipita dans le salon. Il eu juste le temps de lancer un sortilège pour éviter la catastrophe.

   "- Expelliarmus ! Hurla t'il en exécutant le geste du sortilège avec sa baguette. Il vus la baguette de sa mère volée dans la pièce et ses yeux coléreux se gonfler de rage.
- Sirius Orion Black ! "

Prononça l'horrible femme mots par mots. Le jeune garçon savait qu'il payerait pour ce qu'il venait de faire. C'était toujours le cas quand il s'agissait de lui et de ses actions stupides qui avait tout de même un sens. Il protégeait son petit frère. Celui à qui il ne souhaitait que le bonheur et la paix. Malheureusement leur mère, si on peut appeler ça comme tel, ne lui rendait pas la tâche facile. Elle voulait que son petit dernier sois parfait et facile à manipuler. C'était d'ailleurs le cas. C'est ce que reprochait Sirius à son petit frère, de trop rester dans le rang. Malgré sa, et le fait qu'il soit un Serpentard, il l'aimait plus que tout. Mais assez parler du comportement de Regulus de toute manière vous en savez déjà bien assez pour la suite de l'histoire. Revenons à Sirius Orion Black. Cette horrible appellation qu'il détestait par dessus tout. Quand le démon le prononçait c'était qu'il aurait une punition digne de se nom. D'ailleurs sa ne manqua pas.

   "- tu n'es qu'un petit insolent ! Ne crois-tu pas avoir fais assez honte à cette famille ?! Tu te ridiculise dans cette stupide maison. « Griffondor » elle émit un son dédaigneux en laissant ce mot lui écorcher la gorge. Ton père ton grand père ! Ton arrière grand père était à serpentard ! Tu étais la fierté de cette famille à tes naissances. Mais écoute moi bien ! Si tu continue ainsi je devrais te faire obéir d'une autre manière et je t'assure qu'elle seras encore plus désagréable que la précédente.
    - mère arrêté, je vous en pris. Je subirai la punition que vous me donnerez. Laissez le tranquille. Sirius réussi à laisser échapper quelque mots de sa bouche. Une phrase presque inaudible au oreille de son petit frère.
    - fuis, ne te retourne pas, n'écoute pas, fais comme si rien ne ce produisait. Sirius ce retourna vers son petit frère qui avait courus vers la porte quand leurs mères avait lâché l'emprise sur lui. Regulus regarda son aîné les larmes aux yeux avant d'ouvrir la massif planche de bois et de courir à l'extérieur le plus loin possible de la terreur.
    - tu n'emmèneras pas ton frère dans tes bêtises jeune homme rassure toi. "

Elle attrapa Sirius par le coup. Bizarrement celui-ci ne ce débat point. Il savait à quoi s'attendre. Cela déplaisait fortement à son bourreau d'ailleurs. Elle le poussa dans les escaliers lui donnant l'ordre de monter. L'horrible femme récupéra sa baguette dans un geste vif observant son fils de peur qu'il s'échappe. Mais il ne fit rien. Arrivé en haut il pris la direction de cette pièce sombre que sa mère utilisait pour le punir. Un placard à balais, un débarras, appelé sa comme vous le souhaitez. Cette pièce était répugnante. Du vieux linges moisissait ici depuis de longue année. Il était taché de sang. Probablement celui de Sirius. La poussière se soulevait quand on ouvrait la porte ce qui rendait l'air irrespirable. La fenêtre était barricadée par des planches de bois ou des clous et des échardes résorbaient. Dans cette pièce, appart de vieux balais du linge poisseux et de la poussière il y avait une chose qui était encore pire que la torture de l'endroit en lui même. Une chaise était disposé au centre, des cordes à ses pieds qui avait bien trop servit. Sirius s'avança de l'obscurité et s'assit sans rien demandé à personne. Il posa c'est main sur les accoudoirs et attendis que le diable vienne ce jouer de lui. Mais elle en fit autrement. Son fils avait pris trop d'assurance. Cette école faisait ressortir le courage qu'elle avait réussi à détruire et chasser de l'âme de son fils. Enfin c'est ce qu'elle croyait.

   "- lève toi et enlève cette chaise du milieu de la pièce. Ordonna walburga à Sirius. Celui-ci ne compris pas tout de suite ce qu'elle lui demandait. C'était inhabituel de sa chère mère. Il s'exécuta.
Bien maintenant mais toi au milieu et ne bouge plus. Je vais te dire ce que je vais faire mon chère. Si à la fin de m'on élocution tu as compris tu te mètreras à genoux et tu t'excuseras comme ton chère petit frère le fais si bien. Les point de Sirius ce serrèrent. Si il avait eux plus de forces et d'agilité il aurait tuer cette harpie de ses main malheureusement face à elle était pour le moment impuissant.
Alors écoute moi bien, je m'apprête à te ligoter comme un bon gigot, puis ensuite je te ferai léviter. Très simpliste jusque là, mais le plus drôle reste à venir. Elle tournait autour de Sirius comme un vautour autour de sa proie. Je te ferai ensuite te tordre de douleurs dans les airs jusqu'à ce que tu hurles et tu me supplies d'arrêter. Enfin bien sûr je n'arrêterait pas et resserrerait tes liens et puis je te laisserai tomber à terre. Comme les ridicule petit garçon stupide que tu es. Elle finit sa phrase à l'oreille de Sirius. Alors ? Que choisis-tu ?
    - la question ne ce pose pas mère. "

Dois-je vraiment vous raconter la suite. Car l'horreur et la démesure des choses on prit une tournure de mort. Mais savez vous qu'à des kilomètres d'ici. Alors que le pauvres mais courageux héros subit une torture digne d'Hades. Un jeune loup tempétueux a subit une mutation imprévue.

"- tu l'as vue ?!
- non et toi ?! J'ai fouiller tout le côté Est de la forêt. "

Dans les tumultes de la forêt de Godric's Hollow, deux jeune gens couraient à en perdre haleine. Cédric et Percy cherchais le malheureux Remus. Le pauvre avait subit une mutation imprévue dans la nuit et n'était pas rentré. Némésis avait fait un scandale dans toute la maison, elle était responsable de lui. Ce qui explique la situation dans laquelle les jumeaux ce trouvait.

"- si on le retrouve pas c'est la mort qui vas s'abattre sur nous. Pourquoi dans ce genre de moment mon don ne fonctionne pas ! Hurla Cédric.
- inutile de s'énerver ! Il faut rester calme !
- je crois que tu ne sais pas ce que signifie calme !
- comment ?! je sais parfaitement rester calme !
- ah oui alors pourquoi tu cris !
- c'est moi qui cris ! Et toi du fais quoi là !
- les garçons... les garçons ! Anabeth a bout de souffle tenait son cousin dns ses bras . Celui-ci avait salle mine et ses vêtements étaient en lambeaux. La jeune fille l'avait traîné avec difficulté jusqu'ici et ne souhaitait que l'aide d'un des deux imbéciles qui ce chamaillait. Vous compter me regarder longtemps ?! Aidez moi !"

Il s'exécutèrent sans un mot. Anabeth les regarda sortir de la forêt et ce retourna. Cette nuit avait été particulièrement longue. Comme cette journée d'ailleurs.

Mais que c'est t'il passer dans cette forêt peut être le sais t'elle. En tout cas vue le regard qu'elle porte sur les ombre dansante qu'on aperçoit dans le fin fond de ses yeux l'histoire risque d'être animé.