L'envole du phœnix (Remake)

Chapitre 11

Dans la nuit sombre, lugubre et obscure du moi d'août 1972. Des lumières tamisées par les feuilles se reflètent sur une masse d'eau bleutée par la lune. La musique écossaise ou peut-être irlandaise se mélange à des rires et des danses endiablées sur un parquet artificiel posé au milieu de cette forêt. Les jumeaux Dragoneau, du haut de leurs 15 ans, étaient déjà de grands fêtards. Des chefs de l'organisation et de la planification des soirées interdites. Leurs mère avait été très clairs le jour où elle les avait surpris à la cave avec des camarades de classe entrain de siphonner les bouteilles de vin alsacien. Et oui ! Ils n'en loupaient aucunes. Mais que voulez-vous ? On ne change pas une équipe qui gagne.

Cette soirée était parfaite. Du moins c'est comme ça que l'imaginaient les deux frères. Ceux-ci étaient les maîtres du jeu. Deux grands et beaux adolescents. Il se ressemblait comme deux gouttes d'eau. C'est normale me direz-vous. Ils avaient une couleur de peau n'y trop blanche n'y trop mate. Leurs sourires étaient parfaits, des dents bien en place où il fallait. Une mâchoire carrée extrêmement sexy pour leurs âge. Des yeux d'un bleu éclatant ou ce reflétait de l'or et de l'argent. La seule différence était que l'un avait hérité des Dragonneau. Ses cheveux de jais, bouclés avait des reflets d'or au soleil. Cédric était une copie parfaite de son clan. Tant qu'à Percy il avait Hérité de l'autre partie. Ses cheveux corbeaux étaient mis long. S'ébouriffant au moindre coup de vent il en avait fait succombé plus d'une. Anabeth le savait bien, elle avait hérité du pires. Ils avaient eux de la chance eux. Mais quand on a des cousins aussi attentionnés, on fait avec.

La jeune fille c'était perché dans l'arbre le plus haut de la place et regardait les amis de ses cousins boires et danser. Tout s'emblait si improbable, comme si cela était irréel. Elle ce disait que dans moins de trois semaines elle retournerait à Poudlard. Que ferait-elle ? Les questions qui restaient en suspens devenaient de plus en plus nombreuse. Malgré ses crises de colère personne ne l'aidait plus qu'auparavant. Mais quelque part elle était impatiente de retrouver Hagrid pour découvrir encore d'autre endroit interdit. Cependant il y avait une personne qui restait dans son esprit. Comme si il avait poser son emprunte. Tom Elvis Jedusor, elle ne l'avait pas revue depuis qu'elle avait quitté l'école pour les vacances. Elle voulait absolument lui parler, apprendre de nouvelle choses grâce à lui. Cette étrange esprit qu'elle avait découvert. Elle soupira en pensent à Sirius et son combat contre elle même. Alors elle ferma les yeux et s'allongea de tout son long sur la branche de l'arbre. Elle ce concentra sur les murmures de la nature. Quand un chuchotement étrange lui parut au oreilles. Un hurlement ou un cris de douleur déchirant la nuit. Des supplications d'un adolescent, elle aurait juré entendre Remus. Puis quand la lune vient lui chatouiller le visage. Elle vit le mal qui subsistait dans la forêt.

Ce fut presque immédiat. Elle descendit d'un saut assurée au milieu de l'assemblée cherchant Remus du regard. Rien, personne en vue. Alors elle entreprit de trouver ses autres cousins. Ce ne fût pas long. Les deux garçons l'attrapèrent de part et d'autre et la traînèrent un peu plus loin au alentour.

   "- tu as entendue ? Je n'ai pas rêvé. Dit percy un peu agité.
    - oui sa venait du fin fond de la forêt. J'ai bien peur que même le manoir les entendues. Grimaça Anabeth imaginant sa mère dans tout ses états.
- ne dit pas de bêtises Ana' j'ai dit à tante qu'on organisait une fête. Elle doit bien savoir que vous êtes avec nous. Ou pas ? Cédric observait la lumière qui s'emballait ce rapprocher un peu trop rapidement de la fête. Il sentait les ennuis arrivé à plein nez.
- tu n'as rien vue venir ? Toi qui perçoit tout avant tout le monde. Grogna son frère.
    - on t'en pose des questions à toi ? Le grand et studieux Percy qui n'est pas fichue d'arrêter le temps plus de deux minutes ! On aurait bien besoin de toi là ! Ne serait-ce que pour stopper une furie dans son élan.
    - est-ce de moi que tu parles ? Suis-je devenue une furie désormais ?! Vous allez me retrouvé votre cousin ! Sans tarder ! Ou ma colère s'abattra sur vous ! "