Hazel

Pas une nuit sans larmes..

Hazel..
    La route m'a paru très longue je n'arriver pas à pleurer je sentais comme une boule dans ma gorge une boule énorme qui se gonfler de plus en plus à chaque kilomètre..
-Aller, descends. Me dit ma mère
  Qui n'es pas vraiment ma mère c'était ma tente paternelle qui m'a élevé depuis que mes parents étaient morts, c'était ma deuxième famille malgré que je ne me souvenais pas de mes parents biologiques j'avais onze mois quand ils sont décédés, j'avais ni frère ni sœur j'étais unique, mais j'avais mes cousins et pour moi c'était mes sœurs et frères.
-Maman s'il te plaît promet-moi que ça sera seulement pendant un an et pas plus.
-Si Dieu le veut.
  Elle frappa à la porte et il y avait une sorte de trou carré exprès pour rentrer la main à l'intérieur et pouvoir toucher la serrure et ouvrir la porte de l'intérieur, quelques instants mon oncle apparaît devant nous je pouvais le voir d'un vide entre la porte et le mûre.. c'était mon oncle maternel pervers que je détestais tant car il a essayé plusieurs fois de s'approcher de moi alors que j'avais seulement 11ans, nous entrâmes à l'intérieur ma grand-mère était chez ma grande tante elle ne savait même pas que j'allais venir.
-Alors elle a tant voulu venir chez vous et y rester un an pour mieux vous connaître et passer du temps avec sa deuxième famille.
-Et elle est la bienvenue, c'est aussi chez elle ici et ma mère sera très contente de cette nouvelle. Dit mon plus jeune oncle Brayan.
    Après quelques conversations avec mes deux oncles et la femme du pervers elle se lève me dit en revoir comme si elle allait me laisser pour un jour ou deux j'ai décidé de la rejoindre dehors pour pouvoir dire à Dieu à mon papa que j'aime tant, je l'embrasser chaleureusement et me jeter dans ses bras, et à ce moment là j'ai craqué et lui aussi avait les larmes aux yeux tant dit que ma mère elle avait le regard neutre, j'avais tant envie de revenir avec eux je ne voulais pas rester ici, je me suis tant excusée sur les bêtises que j'ai commis pour venir ici mais je ne voulais plus j'ai regretté je ne savais pas que ça allait devenir vrai un jour, qu'ils pouvaient me laisser ici et partir, mais ils sont partis...
    Je rentrais je m'asseyais sur un canapé regardant de loin mes valises, « est-ce que c'est un cauchemar? Ils sont vraiment partis? Ils m'ont vraiment laissé ici? Comment je vais faire pour m'adapter avec eux ?.. » plein de questions me tourner dans la tête je regardais autour de moi c'était un chalet tout en bois une chambre que le vicieux et sa femme occupaient, un salon semblable à la chambre on y dormait cinq personnes moi ma grand-mère mes deux oncles Brayan et Zifou plus une cousine Maria, plus une cuisine et une salle de bain.
    Avec difficulté j'ai pu rentrer en deuxième année secondaire j'étais déjà en retard de la moitié d'un trimestre ce qui fait que j'avais raté mon année, j'ai pu me faire des amis c'était toujours facile pour moi d'être entouré, mais je préféré être à l'écart entrain de gribouiller dans un cahier, j'étais calme dehors et c'était tout le contraire à la maison..
    Je n'avais pas appris à aimer ma grand-mère car sans cesse ne manquer pas une chance pour me rappeler la méchanceté de ma famille paternelle, alors que de mon côté je voyais tout le contraire car où j'étais il y avait seulement ma sœur et ma mère qui me grondait seulement après avoir foiré quelque choses, sauf qu'ici même une simple erreur Zifou et le vicieux et même mes tantes me frappaient monstrueusement ils m'ont déjà fait monter mon œil droit, arraché les cheveux, griffés mon visage, me frapper jusqu'à avoir des bleus partout, c'était également moi qui les mener à la bagarre car j'étais insupportable, personne ne me comprenait j'avais pas les même habitude pas la même façon de communiquer, aucun rapport avec eux alors il y avait toujours une dispute mais c'était surtout quand quelqu'un parlait du mal de mes parents paternel.
   Il n'y avait pas une nuit sans larmes, ma maman et mon papa me manquait ma famille me manquait ma chambre me manquait et c'était l'enfer.. Mon grand frère Red venait chaque week-end me prendre et me rendre pour revenir en classe et même les vacances, mais à chaque fois ça diminuer.. leurs appelle, leurs visites ils se sont tout habitué à vivre sans moi et c'était de plus en plus dure pour moi.