Paris, le 11 mais 2029
Salut John,
Figures toi que mon premier réflexe est été de t'envoyer un SMS mais la conversation avec notre mystérieux Isaac m'as fait regretter la Période où j'écrivais. C'etait le momenr ou jamais de m'y remettre ! Et toi, te souviens tu de l'époque où tu peignais et dessinais d'une facilité presque douteuse ? Peut être que pour toi aussi c'est le moment où jamais de se relancer. Avant toute chose j'aimerais te raconter quelque chose : Un jour on m'as dis que chaques étoiles filantes qui passe au dessus de nous emporte tout notre chagrin et nous offre un nouveau départ. J'aime bien cette histoire alors penses à moi et ton nouveau départ lorsque tu verra une étoile filante !
En attendant la prochaine pluie d'étoile laisse moi apaiser ton éternelle impatience. Isaac fut dans ses pensées un instant puis pris une grande inspiration et se lança dans son récit :
《 Voyez vous cela fait maintenant cinquante ans que je vis dans le quartier de montmatre. Avant ça j'ai vécu jusqu'à mes 20 ans dans le 20 ème arrondissement de Paris. A cette époque je vivais pour l'art et plus particulièrement pour la peinture. Je voyais ça comme un échappatoire, lorsque les mots et gestes ne suffisaient plus, je peignais. Les jours où il y avait peu de travail à l'usine de mon père j'étais autorisé à aller à l'école. Là bas, en secret, j'y étudiait le dessin avec un vieil homme qui partageait les mêmes idées et visions du monde de l'art que moi. Il me disait toujours 《 Tu mets ton art dans ton oeuvre, moi, je met le miens dans ma vie 》 Je l'admirais tellement, à tel point que j'ai voulu m'inscrire à la même école d'art où il avait passé sa jeunesse. Cette école se trouvait à Montmatre. Vous comprenez donc maintenant ma présence ici. J'ai tout quitté, famille et amis pour venir tenter ma chance à Montmatre. Malheureusement je n'ai pas été accepté à l'école Jean Périmony. Il faut dire que mon allure de pauvre paysan ne rendait pas mon art sérieux dans ce lieux de renomé. Après cette échec j'ai laissé tombé pinceaux et toiles. Je suis devenu le publique des artistes du coin. Mon art à moi je le met dans ma vie. Je me demande qu'est ce que le peintre à bien pu ressentir, je laisse mon imagination se promener, j'erre dans les rues de Paris en imaginant les passants trop pressé en tableau. Mon art , c'est ma liberté. Ma liberté, c'est mon art. 》
Une fois terminé, il bu une gorgée de son café au lait et se mit à sourire, il était heureux, je l'était aussi. A ce moment on partageait la même liberté.PS: j'ai parlé de toi et de ton talent à notre bon vieux Isaac et devine quoi, il t'invite à montmatre peindre avec lui !
A bientôt, adèle.
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À chacun sa liberté.
AdventureDécouvrez dans un roman épistolaire, la rencontre entre une jeune provincière et un retraité parisien et leurs idée sur la liberté.