Premieres habitudes

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POV Clarke :

Installé sur un le petit muret en brique contournant la terrasse de l'Arkadia,je profite de mon dernier jours de travail,dernier jour de travail qui s'est terminé il y a maintenant 20 minutes,je n'aurais jamais penser que ce travail aurait autant pris place dans ma routine ,et pourtant dans deux jours je ne saurait pas derrière un bar à essuyer des verres et écouter ces quelques clients habituels me racontés leurs soucis,les rencontres qu'ils ont fait ou tous simplement leurs journées passer au boulot et comment cela leur fait du bien de décompresser derrière un bon verre,je sourie à cette pensée,il y a des moments ou je me dis que par mon travail j'ai plus plus souvient était temporellement psy que barman,mais d'un sens ce métier c'est un peu ça aussi,écouter se que les gens nous disent,et malgré que sa pourrait en énervé plus d'un,petite pensée à Lincoln,moi cela ne me gênais pas du tout,j'aimais beaucoup les écouter parlé,comme si le fait de parler les alléger d'un poids,comme si ils se confier à moi alors qu'ils ne me connaissaient même pas,et je ne serais vous dire pourquoi mais cela me faisait plaisir.

La communication,tous comme ce bar et même Indra vont me manquer,ils m'ont réellement permis de m'échappée,permis d'éviter de penser à certaines choses dans certains moment de ma vie,et me dire que je ne serais quotidiennement plus ici me provoque un brin de tristesse,de plus je suis sur de ne plus y remettre les pieds pendant un certain moment,déjà du au fait que nous partons en vacances dans deux jours,et que nous revenons donc deux semaines et demis plus tard qui plus ai le week-end avant la rentrée,rentrée qui seras un véritable changement pour nous tous.

Mais je ne devrais pas penser à cela pour l'instant et me focaliser sur le moment présent,sur ces merveilleuses vacances qui arrivent à grand pas,sur cette grande villa,mes amies,les soirées,le soleil,Lexa..Lexa..je suis tellement heureuse qu'elle nous accompagne,cela fait presque deux semaines que nous sommes ensemble,nous voyant presque tous les jours depuis plus d'un mois et demi maintenant,alors ne plus la voire pendant plus de deux semaines m'aurais vraiment fait bizarre..

En parlant de soleil,il à vraiment oublier de passer par notre chère ville cet été,je ne suis habillé que d'un pull se qui n'empêche pas quelques frissons du au froid de surgir sur ma peau ,et comme si on avait entendu mes pensées je sent une source de chaleur sur mes épaules,sources de chaleur qui après un regard derrière mon dos n'est autre que la veste en cuire de Lexa que celle ci vient tous juste de poser sur moi.

Lexa : (doux sourire) Hey.

Clarke : (sourie) Hey.

Lexa : (s'assoit à mes cotés) Tu vas bien ?

Clarke : (pose sa tête sur son épaule) Oui,juste un peu nostalgique de me dire que je ne vais bientôt plus passer mes journées ici mais dans un amphi bourrés de monde à écouter un prof probablement barbant nous rappeler comment l'année va être difficile et..

Lexa : (rigole) Héé,il te reste trois semaines tu as encore le temps avant de penser à ça.

Clarke : (souffle) Tu as raison.

Lexa : (pose son bras sur mes épaule et me fait un tendre bisou sur la tempe) Comme toujours non ?

Clarke : Quelle modestie..

Lexa : (rigole)

Nous nous installons dans un silence qui n'est en rien gênant,il est plutôt apaisant je dois dire,la main de Lexa exerce de douces caresses sur mon épaule et je ne peut m'empêcher de sourire à ce contact,ces fou comme tous à l'air naturel et spontané entre nous,comme ci nous nous connaissons depuis toujours.

Lexa : (me regarde) On va attrapé froid on devrait peut être rentrés.

Clarke : D'accord

Lexa se lève en premier et me tend sa main pour m'aider à faire de même,ce que je m'empresse de faire le sourire aux lèvres,une fois sur mes deux pieds,ma main toujours dans celle de Lexa,nous nous rejoignons comme deux aimants jusqu'à poser nos deux poitrines ensemble pour une douce étreinte que je finis par rompre en m'éloignant légèrement afin de poser mes lèvre sur les siennes,à bout de souffle nous nous séparons dorénavant d'un commun accord,abordant désormais tous les deux un grand sourire.

Inattendu  (correction 17/30) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant