partie 2

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C'était les vacances moi et mes amis étions très heureux, c'était la période de l'année que nous préférerions le plus.

J'étais à la rivière comme chaque été en train de pêcher des écrevisses. Une personne s'approcha de moi je levais la tête et découvrit une fille au visage angélique elle était très belle.

Les cheveux châtains, le teint très clair. Elle portait un short très court qui mettait en valeur ses belles jambes.

- salut, fit-elle
- bonjour
- qu'est-ce que tu fais?
- je pêche des écrevisses
- fais voir.
Elle était émerveillée

- je parie que tu n'as jamais vu d'écrevisses.
- je vis à new York c'est un peu difficile de voir ce genre de choses. Au fait je m'appelle Meg.

Elle me tendit la main.

- je m'appelle David
- je peux? Elle voulait attraper des écrevisses. Je lui signifiais que oui, elle remonta les manches de son vêtement et je vis une cicatrice.

-c'est quoi ça ? Questionnais je en
désignant sa cicatrice
- j'ai eu un accident
- tu en as pleins sur le corps ?
- oui j'en ai assez
- je peux voir?

Elle me regardait avec incrédulité et se mit à rire. Elle a péché une grosse crevette, elle était très heureuse c'était sa première fois en plus.

- aurevoir David, elle s'éloignait en courant, je vais visiter la forêt
- tu habites où ?
- chez mes cousins, les Berry.
- nous sommes voisin alors.

Elle s'éloignait en me faisant un signe de la main.

Je rentrais chez moi, je me dirigeais au sous sol lorsqu'un bruit attira mon attention. Je marchais avec précaution quand tout  un coup quelqu'un sortit de l'ombre, je pris peur je me retournais et tombait nez à nez avec mon ami et voisin Henri.

- t'es malade de vouloir me foutre la trouille, je lui donnais un coup dans les côtes et on se mit à rire.
- t'es qu'un peureux.
Il me jetta un gros sac dans les bras. Le dernier arrivé une tapette. Nous courions jusqu'en haut, une fois en haut nous nous ecroulons sur le plancher.

- tapette, dit-il
- crétin, dis-je.

Nous sortons dans la rue en grignotant nos biscuits.
- alors tu as vu ma cousine? Demanda t'il
- oui près des rochers à la rivière, elle a même attrapé une écrevisse
- elle est plutôt débrouillarde et mignonne aussi
- arrêtes c'est ta cousine
- au second degré, maman dit que ce n'est pas la même chose
- et sa sœur comment elle est?
- Suzanne... Elle marche avec comment est-ce que t'appelles ça, ce qui utilisent les enfants qui ont la polio elle a été plutôt pas mal amochée dans cet accident
- mince
- ouais et ses deux parents sont morts, maman dit qu'ils sont morts sur le coup. Elle dit qu'ils n'ont pas eu le temps de voir ce qui leur est arrivé. Maman dit aussi que Meg est là plus chanceuse elle s'en est bien sortit. En attendant elles vivent chez nous.

Nous avons rencontré notre autre voisin, Bill il était plus âgé que nous et  un emmerdeur de première.
- Qu'est-ce que vous foutez là les nazz? Dit-il en nous indexant
- à la fête foraine, répondit Henri, les forrains s'installent aujourd'hui. Tu veux aller avec nous.
- la fête foraine c'est pour les gamins j'en ai rien à foutre.

Il froissa le papier que je lui avais donné pour la fête foraine et le jeta. Sa sœur Marie sortit derrière le buisson

- regardez qui va là Henri et David
- ferme ton clapet avant que je ne le fasse pour toi
- papa voudrait savoir où tu vas il dit que t'es privé de sortir. Elle parlait avec un air victorieux.
- dis lui d'aller se faire foutre
- alors là tu l'auras mérité, je vais le lui dire
- vas y et dis lui ce que je vous ai vu faire sherryl et toi avec vos oreillers.

Elle se tu immédiatement et on se mit à rire Henri et moi.

TORTURÉEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant