Je n'en pouvais plus, à quoi bon de continuer à vivre dans cette misère, il n'y avait plus personne pour moi. Tout le monde était parti, un par un, me laissant seul au milieu de nul part dans mes pensées.
Je ne savais quoi faire, si je savais, mais c'était un peu trop tôt. J'attendais simplement.
Je me laissais faire, pris par cet emprise qui me hantait depuis le début, je n'arrivais plus à me libérer.
Pourquoi me libérer quand je le méritais ?
Je n'étais pas comme vous, j'étais seul, rempli de défauts et de souffrances.
Mais cela allait bientôt finir.
Ce jeu de survie allait se terminer.