Happy Birthday Paulo Poulet!!

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Je marchais dans l'allée de Clairefontaine avec ma valise et mon sac à dos.

Clem- Hey !! Tu vas où comme ça ?
Moi- Je m'en vais !! Je pars au front !! Tu sais qu'il ne pourra pas éternellement me protéger contre le monde extérieur comme il le fait depuis tellement longtemps !!
Clem- Je sais !! Mais pourquoi sans prévenir ?!!
Moi- Sinon il va me retenir !!

Je montais dans le taxi et regardais par la fenêtre.
Cette maison, cette demeure allait me manqué ça c'est sûr.
Clémence retournai en courant vers la salle, sûrement pour prévenir les autres de mon départ imprévue sachant que j'étais censée partir dans 4 jours.

Ellipse de 3 jours

Une fois arriver en Afghanistan, je trouvais vite le Major sous la tente principale.

Moi- Je suis là Major.
M- Déjà ?
Moi- Je me suis disputer avec Pogba ce qui as précipité mon départ.
M- D'accord. Venez, la tente des blessés est par là. On se fait bombarder deux fois par jour et on ne sait fait attaquer que la semaine dernière une seul fois.
Moi- D'accord.

Pdv Clémence

J'arrive pas à croire qu'elle est partit, qu'elle soit monter dans ce taxi, qu'elle mes laisser.
Je courais vers le château et rentrais en trombe. Les gens en revenaient toujours pas... Et encore je ne leur ai pas dit qu'elle est partie à l'instant.

Moi- Heu... Paul... Elle est partie...
Paul- PARDON !!
Moi- Elle vient de prendre le taxi.
Paul- Je prend le même, je vais la rejoindre.
Moi- Paul tes malade, tu va te faire tuer. Déjà par elle puis en plus par le Major et ensuite par les balles des ennemis.
Paul- A l'aéroport abruti.

Il partit en courant vers un taxi et partit.
On fait quoi maintenant ?...

Pdv Paul

Taré, taré cette gosse à partir se faire tuer comme ça. J'hallucine. Je vais la tuer ça c'est sûr.
J'espère vraiment arriver avant qu'elle ne parte. Je ne sais pas ce que je ferais sans elle si elle se fait tuer. Cette fille c'est à la fois ma mère, ma soeur, ma meilleure amie, ma petite amie (même si on s'embrasse pas), ma fille, ma confidente et mon ange gardien. Jamais je ne pourrais vivre sans elle. Elle est mon tout, mon unique et mon destin. Elle est l'étoile qui éclaire mes nuits. Elle est le soleil qui illumine mes journées. Elle est à la fois la gentillesse et la tendresse. La beauté et la volonté. Elle est un tout. Un tout que je porte dans mon coeur depuis le collège.
Je peux vous dire qu'au début ce n'était pas facile tout les jours. Elle était insupportable, dans les bons sens du terme. Iris est du genre à sourire alors qu'elle est triste. Elle est du genre à faire des blagues tout le temps pour cacher sa mauvaise humeur. Elle est du genre à jamais lâcher ces potes et toujours être avec eux. Elle est du genre à faire plein de choses contraire à ce qu'elle ressent ou ce qu'elle est. Elle est du genre à pleurer la nuit et ne jamais parler de ce qu'elle ressent à personne.
Iris est une fille forte qui a un caractère bien à elle. Elle n'a jamais peur de rien. Elle a toujours la tête haute. Iris est le genre de fille que tout le monde aimerais avoir comme amie.

Je l'ai loupé. Je l'ai loupé de peu. Je l'ai vue monter dans l'avion. Je l'ai appeler en vain. Elle est partit et je n'ai pas pu la protéger. Elle est partit et je n'ai pas pu la retenir. Certes elle serai partit quand même. Mais j'aurais voulu qu'elle ne le face pas. J'aurais voulu qu'elle reste la petite Iris qui écouter tout ce que je lui disait. Qui venait me voir quand elle avait peur. Qui pleurer dans mes bras quand elle avait mal. Qui me faisait des câlins quand elle avait de la peine.

Je veux la voir la maintenant tout de suite devant moi. Mais finalement, tout ce que je vois c'est le vide. Le vide. Je suis assis sur un siège et je regarde le vide. Rien de plus que le vide intersidéral.

Le monde semblait s'être arrêter et je ne savais plus quoi faire. C'était mon anniversaire et ma meilleure amie venait de partir à la guerre et la dernière chose qu'on ai fait tout les deux était de se crier dessus. Si vous saviez comment je m'en veux à se moment précis. Si vous saviez comme je m'en veux.

Ellipse de 4 jours

Une semaine... Une semaine qu'elle était partie et une semaine que je rester planté sur le canapé de Clairefontaine. Une semaine que le Didier me crier de me bouger le cu de se maudits canapé si je voulais jouer le prochain match. Mais une semaine que je ne faisait que regarder le vide et voir son visage dans mon esprit. Une semaine que je ne plus aucun son était sortit de ma bouhe. Une semaine, c'est long quand même.

Antoine- Bon aller bouge toi un peu Paul. Tu crois qu'elle aurait voulu te voir ainsi?
Moi- Elle est partit alors elle a rien à me dire.
Giroud- Elle nous manque à tous mon pote et à moi aussi.
Moi- C'est pas pareil. C'est pas ton sang et ta chaire cette fille.
Clem- Pour moi si Paul et je suis sur qu'en te voyant comme ça elle t'aurais foutu un coup de pied au cu.
Paul- M'en fou.
Clem- Non, non tu t'en fous pas Paul et je le sais.
Moi- Mais putain lâcher moi les baskets bordel.
Didier- Non Paul, on va pas te laisser aller en dépression comme tu es entrain de le faire.
Moi- Mais non je suis pas en dépression moi.
Tous- PAUL !!
Moi- OK ok gueuler pas !! Si vous me cherchez je serais sur le terrain.