La dépression

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C'était finis entre D et moi. J'avais beaucoup de mal. Je ne mangeait plus, je pleurais tout le temps. Qu'est-ce que j'ai pu être mal à ce moment là. J'ai crue que le monde s'écroulait sur ma tête. J'avais mal au cœur.
D s'éloignait de moi, elle me donnait encore quelques petites attentions. Mais je voyais que ce n'était plus pareil.
Comment est-ce qu'on est censée faire quand la personne qu'on aime le plus au monde s'éloigne ? Mais pas juste un peu, pas à une distance où on peut lui prendre la main, la prendre dans ses bras et lui dire de rester... Quand elle part à une distance où tu ne peux plus rien faire, où tu la sens partir... Cette douleur qui t'envahit alors, elle possède toujours ton cœur, tu as toujours le droit à quelque mots doux mais tu te demandes si elle est toujours sincère. Cette distance où elle a le choix de rester ou d'en choisir une autre mais que tu n'as plus assez de force pour la supplier de rester parce que tu sens que c'est perdu d'avance.
Alors je l'ai laissée filer entre mes doigts et tout était terminée.
R avait beaucoup jouée à ce moment là, il faut savoir qu'elle avait beaucoup inciter D à être avec elle et l'a beaucoup cherchée.
J'étais dans un état pas possible. Je perdais ma femme qui se rapprochait de l'amie de la personne que je déteste le plus au monde sur cette terre? R n'était pas aussi douce non plus. A vrai dire elle était comme mon harceleuse  et ça ça m'inquiétait beaucoup.
Après quelque temps, j'ai compris que D était avec R.
J'étais au plus bas. J'avais beaucoup de monde qui m'entourait et qui était là pour moi mais la seule personne dont j'avais besoin n'était plus là dans un certain sens. Elle était toujours là; mais plus à mes côtés. Et j'en souffrait beaucoup.

Les opposés s'attirent Où les histoires vivent. Découvrez maintenant