Imagine que tu aimes un gars.
Imagine que lui ne te prête aucune attention si ce n'est des regards haineux.
Imagine que ce gars est un gros con.
Imagine que ce con est très mature.
Imagine que cet être mature est très intelligent.
Imagine que cet intelligent a eu de gros problème, tout comme toi, dans sa vie.
Imagine que ce gars a eu des problèmes dont tu n'as aucune idées mais dont tu connais l'existence.
Imagine que ce gros con est la clé de la fin tes maux et que tu le sais.
Imagine que cet précieuse clé est inapprochable.
Imagine que cet clé inapprochable est pourtant sous tes yeux.
Imagine que ce trésor te fuis.
Imagine que tu l'aimes un peu plus chaque jour avec chacun de ses sourires.
Imagine que ses sourires tellement précieux à tes yeux ne te sont pas adresser.
Imagine qu'un jour tu découvre qu'il a quelqu'un.
Imagine qu'une chance se présente sous tes yeux d'allez lui parler mais qu'un être chère t'interromps dans ta lancé.
Imagine que chaque jour, chaque nuit, chaque semaines, chaque mois tu ne cesse de constamment pensé à lui.
Imagine qu'il te blesse.
Imagine qu'il voit que ton regards se pose soudainement sur lui et qu'il cesse de t'observer comme il le faisait, car tu l'avais remarqué bien avant.
Imagine que tout les jours, toutes les nuits, une torture mentale se passe en toi.
Imagine que cet torture tourne autour de ses pensée.
Imagine que tu veux savoir si il pense à toi où si tout ça est dans ta tête.
Imagine que tu es juste perdus, que tu sais qu'il pourrais te voir tel ces rares personnes mais que tu ne sais pas si il t'a vue.
Imagine que tu l'attend, patiemment, que chacune de tes tentatives pour l'intercepter ont été couper par une personne chère qui n'en savait rien.
Imagine être dévouer corps et âme à cet infâme personne que tu hais au plus profond de tes tripes mais que tu aimes, dans cette profonde et infime cachette de ton cœur qui est au bord de la fin, à en mourir cette personne.
Imagine que tu prend au vrai sens, que tu n'utilise jamais ce mots à la légère, que tu SAIS ce que représente ces deux syllabes, liés ensemble, tel deux amants ne voulant ce quitter au prix de devoir faire rage, "mourir".
Oui...
C'est bien cela...
J'ai du mal à l'avouer pourtant je dois bien vous l'admettre mon chère.
Je dois bien vous avouez que vous êtes entré dans mon cœur.
Doucement, tel un félin devant sa proies mais surement comme un serpent retenant son souffle.
Vous monsieur, oui vous.
Je ne vous aimes pas, Oh point !
Non, je vous Aimes avec ce mots que seul les plus fous n'utilise pas à la légère, Je vous Aimes à en Mourir...
De la part de votre dévouée démone,
Safia.
VOUS LISEZ
l'écriture est mon cris, mon cris est une chute inarrêtable.
Non-FictionParceque l'écrit remplace toujours quelques choses que l'ont peux dire à haute voix mais d'une façon différente. Ce livre n'est d'autres qu'un endroit où je vais libéré tout ce que j'ai sur le coeur, en rendant cette écrit avide de sens et beau.