Chapitre I Premier envole

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―Bonjour, un billet pour Los Angeles pour le prochain vol s'il vous plaît.

―Vous avez un vol dans 17 minutes en seconde classe.

―Parfait, je le prends.

L'hôtesse me donne mon billet j'embarque hall A, porte C. Je me dirige vers un panneau pour voir où je me situe. Ça va je suis juste à côté.

~Le vol AM0108 à destination de Los Angeles à une heure de retard merci de bien vouloir patienter ~

          Pourquoi faut-il que sa tombe toujours sur moi se genre de chose ? Mais bon, c'est pas grave au contraire cela me donne le temps pour aller au Starbucks qui se trouve en bas. Je me commande un réfresha citron vert.

         Je sirote tranquillement ma boissons en retournage hall A. Je regarde l'heure sur mon téléphone qui indique dix heures quarante cinq. Il me reste donc trois quarts d'heure d'attente, je décide alors d'appeler ma tante pour la prévenir du retard. Je reste environ une demi heure au téléphone avec elle avant de raccrocher. Je vais faire enregistrer ma valise. Et comme bagages à main je garde mon sac à dos en plus de ma guitare.

          Une fois dans l'avion je me trouve une place près d'un hublot car j'adore regarder le monde de plus haut. Je trouve ça magnifique de voler au dessus des nuages on a l'impression que c'est de la neige.

            L'hôtesse de l'aire nous souhaitent un bon voyage puis se rassoie. Je met mes écouteurs dans les oreilles et active la musique. Je me sens somnolait quant de vivent secousse viens à me ramenée à moi. Déjà que je ne suis pas tout à fait rassuré alors avec ça, sa ne fait que accentué mon angoisse. « Ne t'inquiète pas se n'est rien juste quelques secousse, juste quelques secousse » ne cessant pas de me répété cela.

            L'avion viens enfin de touché le tarmac, dans l'avion maintenant totalement à l'arrête la foule se précipite vers la porte la plus proche pour sortir pendant que moi, j'attends que sa se dissipe.

          Je ne pensais pas qu' une vie pouvait changer en quelques heurs, mais s'est possible il y a append douze heurs j'étais à Londres et me voila en Californie à l'autre bout du monde. J'ai l'impression d'être chez moi ici pour tant je viens juste d'arrivé. Mais je me sens si bien enfin un lieu sans peur, sans crainte, sans remord...




Un été pour oublierWhere stories live. Discover now