Chapitre II

19 1 0
                                    

Une fois descendue de l'avion, je vais récupérer ma valise. Il y a beaucoup de monde et de bruits. Une femme dit à une personne qui semble être son fils qu'il s'est trompé de valise. Enfin bref ça cri de tout les côtés
Je guette ma valise que je voie arrivée elle est noir et très gros. Je demande à un homme à côté de moi si il peu l'attraper.
J'enlève le mode avion de mon téléphone c'est là que je me rend conte que j'ai dix-sept appels manqués et autant en messages. Ils viennent quasiment tous de ma meilleure amie sauf deux ou c'est des numéro inconnu.
Je me dirige vers le hall là où ma tante m'a donné rendez-vous mais j'ai un souvenir très flou de son visage.
Mon regard se fixe sur un panneau. Dessus il y a d'inscrit « Hillary Azzaro » avec une photo de moi quand j'étais petite. Et la, je reconnais mon oncle, c'est lui qui tiens le panneau au-dessus de sa tête. Je le fixe. Quand il me voix, il se met à sourire en baissant la pancarte. Il me fait un signe de la main pour me dire de venir. Je ne sais pas se qui me prend je me met à courir pour me ruer dans ses bras. Ils m'ont tellement manqué.
    ― Hillary, comme tu as grandi! Tu es magnifique, tu ressembles à ta mère ! dit ma tante en me prenant dans ses bras à son tour. Tu te souviens de Benji, vous étiez inséparables tous les deux, et de ton oncle Médi. Me dit elle en pleurant de joie.
    ―Pour un Noël, il t'a demandé de sentir la bûche et il t'a mis la tête dedans, c'était rigolo mais toi tu t'es mise à pleurer.
     ―Bien sur que je m'en souviens comment oublié c'est la dernière fois que l'on sais vus.
     ―Et là ses Sacha la sœur de Benji tu ne la jamais vu ? Me demande ma tante en me désignant une petite fille d'environ sept ou huit ans les yeux marron et les cheveux roux.
      ―Vous venez, nous rentrons. Dit mon oncle.
      ―Tu joues de la guitare ? M'interrogea mon cousin.
      ―Oui.
      ―Cool. Benji lui joue de la batterie et moi du violon. Me dit Sacha.
Ma valise dans une main, ma guitare dans l'autre et mon sac a dos sur le dos. Je les suis jusqu'à la voiture.
      ―Passe-moi ta valise, je vais la mettre dans le coffre, et ta guitare.
      ―Non, je la garde avec moi.
      ―Bon bah d'accord.
      ―Où est Benji ?
      ―Il viens de partir, car il devait aller voir Dan, un ami. Me raconte ma tante
      ―Moi qui voulais passer du temps avec lui.
      ―T'inquiète pas tu en auras tout le temps. Me dit-elle avec un petit sourie.

La route est un peu longue mais ça en vaut la peine. C'est magnifique. J'ouvre la fenêtre et passe mon bras par celle si. Mon oncle s'arrête à un stop et fait signe à un groupe de jeunes qu'il semble connaître. L'un des garçons me semble familier, mais je n'y prête pas trop importance. Ensuite nous passons devant la plage de sable blanc, près des palmiers, il y'a à même encore la fête foraine. De l'autre côté de la route se trouve tous pleins de magasins comme Citadium, Berchca, un Starbucks... Se que j'aimerais temps revoire c'est le panneaux d'Hollywood.
―On est arrivés. C'est là. Me dit Sacha en me montrant du doigt une maison. Mon oncle se gare dans une allée, qui donne ensuite sur un immense jardin où il y a la grande piscines. Je sors de la voitures et récupère ma valise avec on sac à dos.
―Viens-je te fait visiter. Me propose Sacha en prenant par la main.
―OK.
On fait un rapide tours du jardin: devant la piscine se trouve une terrasse avec un grand salon de jardin et une une table en bois avec au desçu une immanence tonnelles blanche. On rentre dans la maison.
―T'as chambre est à l'étage avec une salle de bain dedans. Tu vas voir elle est trop belle.
Dans l'entrée je reconnais un cadre, avec a l'intérieur, des photo de ma tante, mon oncle, mon cousin, mon père et moi du dernier Noël qu'on a passé ensembles.
―Si c'est trop dure je peu l'enlevé. Me dit mon oncle
―Non il est bien ici juste que je ne m'attendais pas à se qu'il y sois encore. C'est tout.
Sacha me montre la cuisine, grande, moderne avec un îlot central. Il l'on refait depuis la dernière foi. Ensuit le salon avec la salle à mangé, deux bais vitrés donne sur la piscine. Et en dernier ma chambre dans la quelle je dormais avec mon père quand je venais.  Dans un coin ils ons rajouté un grand bureau avec les pieds en bois et une plaque de vers au dessus. Sur le quelle il y'a à un Mac Book Air. Je pose mon Eastpak à côté du bureau et sors la pochette cartonnée. A l'intérieur se trouve des photos. J'en colle quelques unes sur le mur, face au bureau, puis au dessus du lit. 
— Elles sont jolie ces photo. Me dis ma tante. C'est qui se garçon? Me demande t elle.
Je devais m'attendre à cette question je lui réponds simplement que c'est enfant que je garder pour me faire un peut d'argent.
— Oh tu connais Jamie?
— Oui depuis que je suis enfant, mais toi comment tu le connais?
— C'est un ami de Benji c'est pour ça que je le connais.
J'ai j'aurais pu croire qu'ils se connaissent, je vais enfin pouvoir le revoir.
Je m'assoie dessus quand j'entends la sonnerie de mon téléphone, c'est Ana. Ma meilleure amie.
― Oh oh, je sans que sa va bardé pour moi.
― Qu'est ce qu'il y a ?
— Rien tout va bien.
Je décroche. Toute inquiète elle me hurle dans les oreilles :
―Mais où es-tu ? On te cherche partout ! Il te réclame et il pleur. Je fait quoi moi. Et je dis quoi à t'es éducatrices ? Tous le monde s'inquiète!
―Dis leur que je suis partie et en sécurité.
―Tu es partie où ?
―Pas très loin, ne t'inquiète pas, tout va bien.
―Alors tu aimes bien la Californie. Me demande la douce petite voix de Sacha.
―Quoi ! Tu es sérieuse là ! Pas très loin ?!Mais Hillary, tu es partie à l'autre bout du monde !
―Tu me manques. Je dois te laisser, bisou à plus !
Je raccroche vite, puis je me tourne vers Sacha, et sans le vouloir je l'insulte et lui dit de plus m'adresser la parole.
―Tu es méchante. T'a mère ne ta pas appris la politesse ?
―Je ne connais pas ma mère, je ne l'ai jamais vue.
- Je... je suis désolée je ne savais pas. Marmonna-elle.
Elle s'enfuit en courant. J'hésite quoi faire pour me calmer puis mon regard va sur une photographie de Logan, alors de décide seulement joué de la guitare. Qui me semble être la meilleure option.
Quand j'ai fini et joué, j'entends des applaudissements, ils sont là, touts les quatre et j'ignore depuis combien de temps.
―Vous êtes là depuis combien de temps ?
―Depuis que tu as commencé a joué. C'était très joli.
―Merci. Sacha, je suis désolée pour tout à l'heur, c'est vrai que tu ne pouvais pas savoir. Je la prends dans mes bras.
―C'est déjà pardonné.
―Venez le dîner est prêt.
―D'accord.
―On mange quoi ?
―Des lasagnes.
―Ouais trop bien !
Une fois à table mon cousin me demande :
―Tu sais ou tu vas faire tes études ?
―J'ai déjà arrête les cours et je n'ai même pas mon brevet.
―Mais pourquoi as tu arrêtes si tôt ?
―A partir de la cinquième je ne travaillais plus je fessais n'importe quoi j'allais touts les jours dans le bureau de la CPE. Les professeurs étaient très étonnés par mon changement de comportement. Ils m'ont demandé si j'avais de problème personnel, j'ai répondu que oui, ensuite, ils ont voulu savoir quels genres de problème j'avais. Quand ils l'ont sut, ils ont dit que malgré cela je ne devais pas me comportais comme ça sinon je serai renvoyé, est se fut le cas. Est depuis ce jour je ne suis jamais retournais au collège mais j'ai prit des cours pas correspondance, malheureusement ça na pas durée.
―Quel genre de problème avais-tu ? Demanda mon cousin.
―J'ai pas vraiment envie dans parler.
Le reste du repas se passa dans le plus grand calme.
―Demain midi on fait un barbecue pour mon anniversaire avec les voisins, des amis et de la famille. Tu pourras te faire des copines. Me dit mon oncle.
―Ah oui papa, en parlant du barbecue Cherilynne viens.
―OK. Alors Hillary ?
―Ça me va.
―Qui veut du gâteau au chocolat ? Proposa ma tante.
―Non merci je vais plutôt aller ma couché je suis fatiguée.
―Oui bien sur.
―Merci, bonne nuit.
Je sors de table, embrasse tout le monde et je monte dans ma chambre. Après une bonne douche je me glisse dans mes draps puis je m'endors comme un bébé.
Le lendemain matin je me réveille doucement et descend dans la cuisine mais je ne trouve personne. Je regarde l'horloge elle indique sept heures et demie. Je retourne dans ma chambre et je me mets en tenus de sport. J'écris un mot sur un petit papier à ma tante pour pas qu'elle s'inquiète et je pars courir.
Je coure pendant une bonne heure et demi je m'arrête devant un Starbucks et je commande un chocolat avec un cookie en posant un billet de dix dollars sur le comptoir. Quelle que minutes plus tard une serveuse qui doit avoir un peu prés mon age arrive vers moi avec un plateaux, dessus mon chocolat et mon cookie.
―Et un choc...
Elle a pas le temps de dire la fin de sa phrase que le chocolat et sur mon tee-shirt. Je me lève d'un coup car c'est brûlant.
―Putain c'est chaud !
―Je suis vraiment désolé excusé moi. Ça fait que quel que jours que je travaille. Pardon.
―Ne vous inquiétez pas ce n'est rien, juste ou son les toilette ?
―Dans le couloir dernière porte à droite.
Je la remercie d'un hochement de tête.
J'en ressorts après plusieurs minutes et je vois la jeune serveuse adossé contre le mur, dès qu'elle entant la portes des toilette claquer elle se retourne en avançant vers moi un tee-shirt a la main.
―Tiens prends le, tu sera bien plus alaise avec celui ci pour rentré chez toi.
―Merci.
―Suivez moi au vestiaires se sera plus agréable pour vous changé que dans les toilette. Je m'appelle Bleuenn et toi ? Je peut te tutoyer ?
―Hillary et oui on peu se tutoyer on doit avoir quasiment le même âge.
―C'est là. Elle sort une clef de sa poche et ouvres la porte avec difficulté, Je t'attend.
J'en ressors quelque secondes plus tard.
―Tu veut que je te ramène chez toi j'ai fini mon servisse.
―Non merci j'habite pas très loin
―Ok
―je repasserai demain matin à la même heure pour te rendre tee-shirt.
―D'accord à demain.

Je repars sans perdre de temps. Quand j'entends une voiture qui klaxonne, je me retourne, elle a les vitres tinté, la vitre se baisse , c'est Benji avec un autre garçon.
―Salut. Me dit Benji. Tu cours toi ? Dit-il d'un aire étonner
―Souvent. Et toi tu fais quoi ? Lui demande-je toute essoufflée
―Je suis allé me promener avec Dan et Cherilynne. Tu veux qu'on te ramène on rentre ? Il se tourne vers Dan et lui demande :
―Ça ne te dérange pas ? C'est ma cousine et elle sera là ce midi.
―Non, elle est la bienvenue dans ma voiture. Allé monte ! Dit-il en me regardant avec un grand sourire. Tu feras connaissance avec Cherilynne.
―Merci. Dis-je a l'adresse de Dan.
À l'arrière, elle me lance un regard interrogateur.
―Bonjour.
―Salut.
―Ça fait combien de temps que tu es là?
―Depuis hier.
―D'accord. Tu veux venir avec nous à la plage cette après-midi? Tu pourras faire connaissance avec les autres.
―Oui pourquoi pas.
―Super! Benji tu viens avec nous cette aprèm?
―Non, je pense pas.
―Dommage.
―Hillary ? Me demande Dan.
―Oui ?
―Tu habitais ou avent?
―A Londres en Angleterre. Mais je suis née en France et j'y suis resté jusqu'à mes 8 ans avec ma grand-mère et après elle a voulu changer d'air, de pays donc on et partie à Londres.
―Où ça en France, car j'ai des amis là-bas ?
―Vers Bordeaux.
―OK. Moi ils sont vers la capital, Paris je crois.
―Ok.
―Est tes parents et ta grand-mère sont là eux aussi ? Me demanda Cherilynne.
―Non. Répondis-je sèchement.
―Ils t'ont laissé partir toute seule de Londres ?
―Non, je te jure que s'ils étaient toujours en vie ils n'auraient jamais voulu que je parte toute seule de Londres.
Je la vois rougir sous l'effet de mes paroles, elle se sente mal alaise.
―Oh Hillary, je suis vraiment désolé, je ne savais rien. Benji ne ma jamais parlé de ta famille. Excuse-moi.
―Non t'inquiète, j'ai l'habitude. Et de toute façon je n'ai pas beaucoup de souvenir. Ne t'en fait pas c'est pas grave.

Un été pour oublierWhere stories live. Discover now